Teaser Tuesday #77

ninou-lilou a écrit:**Pitié ! quand vous n'aimez pas un livre, évitez de dire qu'il est nul à chier ! Pensez à ceux qui ont aimé et qui aimerez bien lire d'autres livres de ce même auteur sans craindre pour sa vie...
Les goûts et les couleurs ne se discutent pas, mais c'est la façon de le dire qui est importante et qui fait toute la différence !

ninou-lilou a écrit:

Jaloux de Sandra Brown

[Voilà ce que peut ressentir un écrivain quand il lit les critiques acerbes de certains lecteurs qui lapident son livre, qui démolient des mois et des mois de travail, juste parce qu'ils n'ont pas aimé l'histoire. Ça laisse à réfléchir aux conséquences que peuvent avoir des propos virulents...]

**Pitié ! quand vous n'aimez pas un livre, évitez de dire qu'il est nul à chier ! Pensez à ceux qui ont aimé et qui aimerez bien lire d'autres livres de ce même auteur sans craindre pour sa vie...
Les goûts et les couleurs ne se discutent pas, mais c'est la façon de le dire qui est importante et qui fait toute la différence !

Traduction maison:

Traduction maison:

Traduction maison:

ninou-lilou a écrit:

Jaloux de Sandra Brown

[Voilà ce que peut ressentir un écrivain quand il lit les critiques acerbes de certains lecteurs qui lapident son livre, qui démolient des mois et des mois de travail, juste parce qu'ils n'ont pas aimé l'histoire. Ça laisse à réfléchir aux conséquences que peuvent avoir des propos virulents...]


— Vous semblez prendre l'écriture très à coeur. Je me demande pourquoi vous êtes si peu enclin à publier votre roman.
— Par crainte de l'échec, affirma Parker comme si la réponse était toute prête.
— Je comprends ce que vous ressentez. Les artistes sont des gens qui doutent. C'est la nature de la bête. Mais ne sommes-nous pas contents que certains se jettent à l'eau ? demanda-t-elle avec un geste en direction de sa bibliothèque.
— Oui, mais combien restent dans le doute ? rétorqua-t-il. Combien ne supporteraient pas d'être tournés en ridicule par les critiques, combien ne pourraient endurer les revirements constants des lecteurs, la pression de devoir répondre à leurs attentes, le fait de se dire qu'ils n'ont aucun talent et qu'ils en trouveraient la confirmation dans les articles de presse ? Combien d'écrivains sont des alcooliques finis ? Combien, même, se font brûler la cervelle ?


**Pitié ! quand vous n'aimez pas un livre, évitez de dire qu'il est nul à chier ! Pensez à ceux qui ont aimé et qui aimerez bien lire d'autres livres de ce même auteur sans craindre pour sa vie...
Les goûts et les couleurs ne se discutent pas, mais c'est la façon de le dire qui est importante et qui fait toute la différence !

Je viens de finir Twisted, la suite de Tangled !
Toujours aussi drôle et attachant !!   

''Oncle Drew ?''
''Oui ?''
''Comment est-ce que la couleur bleue du papa se mélange avec la couleur rouge de la maman ?''
Drew hausse ses deux sourcils.
''Comment... comment elles se... mélangent ?''
MacKenzie fait un geste de la main.
''Bah ouais. Est-ce que le docteur injecte à la maman la couleur bleue ? Est-ce qu'elle l'avale ?''
Matthew ricane.
''Seulement si le papa est un homme chanceux.''
Dolores le frappe sur la tête. Mais les yeux de MacKenzie restent rivés sur Drew, attendant sa réponse.
Il ouvre la bouche.
Et puis il la ferme.
Il recommence.
Et puis il s'arrête.
Finalement, comme ceux qui font le boulet de canon dans la piscine le premier jour du printemps, il plonge.
''Eh bien... le papa et la maman ont des rapports sexuels.''
C'est officiel. Alexandra va le tuer. Pour de vrai cette fois. Je vais être veuve avant d'être enfin une épouse.
L'expression de MacKenzie se peint de confusion.
''C'est quoi des rapports sexuels ?''
''C'est la manière dont on fait les bébés.''
Elle réfléchit pendant un instant. Puis elle hoche la tête.
''Oh. D'accord.''
Wow.
Et moi qui pensait que les examens finaux de l'école étaient durs.
Drew s'est bien débrouillé, qu'en pensez-vous ? Il sait y faire avec les enfants. C'est compréhensible, car par bien des côtés... il en est encore un.
Alexandra revient dans la pièce. Elle semble heureuse maintenant qu'elle a montré à Steven que ses ''armes d'acier'' pouvaient être abimées. Elle rayonne presque.
''Qu'est-ce qui se passe ici ?''
Drew sourit innocemment.
''On parle de couleurs.''
Alexandra sourit et caresse les cheveux de sa fille.
Et MaxKenzie ajoute : ''Et de rapports sexuels.''
La main d'Alexandra se fige.
''Attends... quoi ?''
Drew se penche et murmure à mon oreille : ''Nous devrions probablement quitter la pièce maintenant.''
Alors que la porte se referme derrière nous, nous entendons ''Drew!'' et Alexandra ne semble plus aussi joyeuse qu'auparavant.

Spoiler:

Avec son front sur mon omoplate, il chante : ''Oh mon dieu, oh mon dieu, oh mon dieu...''
Cela lui ressemble si peu.
Il semble ouvert. Exposé.
Vulnérable.
Cette homme insupportable, qui souhaite toujours avoir le contrôle et prendre les décisions. Qui ne fait rien sans avoir examiner la situation sous tous les angles, tournant et retournant les détails dans son esprit si étonnant - les pour et contre, les récompenses, les ramifications.
Il est en train de s'effondrer derrière moi.

Spoiler:

Zazazoo a écrit:Hiiii je viens de rentrer et de recevoir le bouquin sur mon kindle. Finir la journée par une réunion le soir où tu veux te jeter sur une nouvelle sortie c'est vraiment la loose !   

Et sinon voilà mon teaser ^^

**********

Cut & Run
Tome 2: Break en montagne
de Madeleine Urban et Abigail roux

Zane est avec Ty en vacances plus ou moins forcées dans la famille de ce dernier, et là Zane est dans la cuisine avec Mara, la maman de Ty.

Dans la pe­tite clai­rière der­rière la mai­son, Ty cou­pait une pile de bois, les dé­cou­pant fa­ci­le­ment avec de puis­sants arcs de la hache qu’il ba­lan­çait. Il avait en­levé la che­mise qu’il por­tait et l’avait posée sur une branche proche, ne gar­dant que son fin tee-shirt pour cou­vrir les muscles dont Zane était in­ti­me­ment fa­mi­lier. Le tissu était trempé de sueur et lui col­lait lé­gè­re­ment à la peau. (...)
   
Tan­dis que Zane le re­gar­dait, Ty s’ar­rêta, posa la hache et passa son tee-shirt par-des­sus sa tête. Il s’es­suya le vi­sage avec, puis le jeta de côté.
Zane dut cli­gner plu­sieurs fois des yeux tan­dis que son ventre se contrac­tait. Sei­gneur. Ce n’était pas comme s’il n’avait ja­mais vu Ty torse nu au­pa­ra­vant. S’éclair­cis­sant la gorge, il re­posa le pi­chet et at­trapa un tor­chon hu­mide pour net­toyer les dé­gâts qu’il avait cau­sés.

— Est-ce que c’est un mau­vais lot ? de­manda Mara en se re­tour­nant pour re­gar­der le thé. Quel­que­fois, Earl en fait de si forts qu’on pour­rait dé­ca­per les murs des toi­lettes ex­té­rieures avec.
— Oh, non, il est par­fait. J’ai juste, euh, un peu raté le verre, dit fai­ble­ment Zane, fai­sant cou­ler l’eau froide pour rin­cer le tor­chon et res­tant face à l’évier.
(...)
— Avec tout le temps que vous, les gar­çons, pas­sez au stand de tir, on pour­rait pen­ser que vous vi­se­riez un peu mieux, dit Mara avec un sou­rire en­tendu dans la voix.
Zane re­ni­fla tan­dis qu’il re­pre­nait un peu le contrôle de son corps. Il alla re­pla­cer le pi­chet dans le ré­fri­gé­ra­teur.
— Ce sont les va­cances. Je ne vi­sais rien qui res­semble de près ou de loin au tra­vail.
Tan­dis qu’il pre­nait son verre après avoir re­fermé le ré­fri­gé­ra­teur, il ne put s’em­pê­cher de jeter un autre coup d’œil par la fe­nêtre.

Zazazoo a écrit:

Zane est avec Ty en vacances plus ou moins forcées dans la famille de ce dernier, et là Zane est dans la cuisine avec Mara, la maman de Ty.

Dans la pe­tite clai­rière der­rière la mai­son, Ty cou­pait une pile de bois, les dé­cou­pant fa­ci­le­ment avec de puis­sants arcs de la hache qu’il ba­lan­çait. Il avait en­levé la che­mise qu’il por­tait et l’avait posée sur une branche proche, ne gar­dant que son fin tee-shirt pour cou­vrir les muscles dont Zane était in­ti­me­ment fa­mi­lier. Le tissu était trempé de sueur et lui col­lait lé­gè­re­ment à la peau. (...)
   
Tan­dis que Zane le re­gar­dait, Ty s’ar­rêta, posa la hache et passa son tee-shirt par-des­sus sa tête. Il s’es­suya le vi­sage avec, puis le jeta de côté.
Zane dut cli­gner plu­sieurs fois des yeux tan­dis que son ventre se contrac­tait. Sei­gneur. Ce n’était pas comme s’il n’avait ja­mais vu Ty torse nu au­pa­ra­vant. S’éclair­cis­sant la gorge, il re­posa le pi­chet et at­trapa un tor­chon hu­mide pour net­toyer les dé­gâts qu’il avait cau­sés.

— Est-ce que c’est un mau­vais lot ? de­manda Mara en se re­tour­nant pour re­gar­der le thé. Quel­que­fois, Earl en fait de si forts qu’on pour­rait dé­ca­per les murs des toi­lettes ex­té­rieures avec.
— Oh, non, il est par­fait. J’ai juste, euh, un peu raté le verre, dit fai­ble­ment Zane, fai­sant cou­ler l’eau froide pour rin­cer le tor­chon et res­tant face à l’évier.
(...)
— Avec tout le temps que vous, les gar­çons, pas­sez au stand de tir, on pour­rait pen­ser que vous vi­se­riez un peu mieux, dit Mara avec un sou­rire en­tendu dans la voix.
Zane re­ni­fla tan­dis qu’il re­pre­nait un peu le contrôle de son corps. Il alla re­pla­cer le pi­chet dans le ré­fri­gé­ra­teur.
— Ce sont les va­cances. Je ne vi­sais rien qui res­semble de près ou de loin au tra­vail.
Tan­dis qu’il pre­nait son verre après avoir re­fermé le ré­fri­gé­ra­teur, il ne put s’em­pê­cher de jeter un autre coup d’œil par la fe­nêtre.

-De quoi tu parles, Tally ? Tu en as des pouvoirs.
-Vraiment ?
-Ouais, tu as le pouvoir de me mettre a genoux.

Penny_Cilline a écrit:J'ai mis du temps à choisir celle que je voulais mettre, mais au final, je crois que c'est une des plus belles!

Talin discute avec Clay, et en vient à aborder le fait que son statut d'humaine ne lui confère aucune capacité particulière. Clay, le changeling jaguar fou d'amour pour elle, est d'un tout autre avis...

-De quoi tu parles, Tally ? Tu en as des pouvoirs.
-Vraiment ?
-Ouais, tu as le pouvoir de me mettre a genoux.