Teaser Tuesday #76

Le Duc mis à Nu de Sally MacKenzie

      _ Je crois que vous avez commis une erreur tactique, Votre Grâce, ajouta-t-elle alors qu il l'entraînait dans la danse.
      _ James, Sarah. Si vous le dîtes à mon oreille, personne n'entendra combien vous êtes  effrontée.
James lui murmura ces mots à l'oreille. La respiration de Sarah devint un peu irrégulière.
      _ Cessez cela.
      _ Vous répétez ça bien trop souvent mon coeur. N'en faites pas une habitude, car ce ne sont certainement pas les mots que j'aimerais entendre le jour où je vous aurai à nouveau dans mon lit. Entraînez-vous à dire "oui", ou "oh oui", ou simplement "oh", avec l'intonation approprié, évidemment. Courte et essoufflée, peut être, ou longue et traînante comme un gémissement.
      _ James !
      _ Vous voyez, je savais que j'arriverais à vous faire dire mon prénom. (James rit à son oreille.)

guizma a écrit:Le Duc mis à Nu de Sally MacKenzie


      _ Je crois que vous avez commis une erreur tactique, Votre Grâce, ajouta-t-elle alors qu il l'entraînait dans la danse.
      _ James, Sarah. Si vous le dîtes à mon oreille, personne n'entendra combien vous êtes  effrontée.
James lui murmura ces mots à l'oreille. La respiration de Sarah devint un peu irrégulière.
      _ Cessez cela.
      _ Vous répétez ça bien trop souvent mon coeur. N'en faites pas une habitude, car ce ne sont certainement pas les mots que j'aimerais entendre le jour où je vous aurai à nouveau dans mon lit. Entraînez-vous à dire "oui", ou "oh oui", ou simplement "oh", avec l'intonation approprié, évidemment. Courte et essoufflée, peut être, ou longue et traînante comme un gémissement.
      _ James !
      _ Vous voyez, je savais que j'arriverais à vous faire dire mon prénom. (James rit à son oreille.)

Oh la la! Ton extrait donne envie!! Hihi  

Génial ton passage guizma    Il va falloir que j'aille jeter un oeil sur ce tome (on verra par la suite pour la série)...





Comme c'est un roman à multiple suspense et que je ne veux pas en dévoiler ne serait-ce qu'un peu, j'ai choisis 2 passages avec déclaration d'amour   


[Callie et Jake ont été marié mais ont divorcé au bout de 2 ans de relation tumultueuse. Elle lui reproche de ne jamais lui avoir dit "je t'aime" et il lui demande pourquoi elle ne le lui a jamais demandé.]

Elle le repoussa, se leva, fit quelques pas vers la porte.
— Reste.
Il ne bougea pas, ne se leva pas, ne cria pas, réactions auxquelles elle était préparée. La surprise l'arrêta.
— Ne pars pas. Finissons au moins cette discussion sans nous tourner une fois de plus le dos. Tu ne me l'as pas demandé parce que, dans notre culture, verba­liser ses sentiments est aussi important que les mani­fester. Mais uniquement si cela vient spontanément. Tant que tu te sentais obligée de me le demander, la réponse n'avait aucune valeur.
— Bravo, professeur.
— Et parce que je ne te le disais pas toutes les cinq minutes, tu m'accusais de te tromper.
— Tu avais déjà une solide réputation de coureur.
— Enfin bon sang, Callie, nous n'étions ni l'un ni l'autre tombés de la dernière pluie !
— Tu as toujours aimé les femmes.
— J'ai toujours bien aimé les femmes. Toi, je t'aimais, point.
— Et c'est maintenant que tu me le dis ?
— Décidément, je ne gagnerai jamais avec toi. Il y a une autre chose que j'aurais dû te dire il y a longtemps. Je ne t'ai jamais trompée, Callie. En être accusé m 'a fait mal. Très mal. Alors, je me suis fâché, parce qu'il vaut mieux être en colère qu'avoir mal.
— Tu n'as jamais couché avec cette brune ?
— Ni avec elle ni avec aucune autre. Dès la seconde où je t'ai vue, il n'y a eu que toi.
Elle dut se détourner pour cacher son émotion. Elle ne s'était persuadée de ses infidélités que pour s'interdire de lui courir après.


[Callie est à bout, elle n'en peut plus, elle veut tout laisser tomber : et les fouilles archéologiques et les recherches sur son passé. Jake essaie de la convaincre de s'accrocher.]

— Tu me forces à continuer, si je comprends bien ?
— Oui.
— Pourquoi veux-tu que je continue à m'obséder ainsi ?
— De toute façon, tu resteras obsédée par ces ques­tions même si tu abandonnes tes recherches.
— Je me demande vraiment ce que tu cherches !
— Prépare-toi à une surprise. Je veux que tu sois heu­reuse. Je le veux beaucoup plus que je n'en étais cons­cient, parce que...
Il s'interrompit, vida son verre.
— ...parce que je t'aime plus que je ne le croyais. Beaucoup plus.
Ces mots déclenchèrent chez Callie un choc dont l'onde partit de son cœur pour lui traverser tout le corps.
— Tu as besoin d'avaler du vin pour pouvoir le dire ?
— Oui. Je n'en ai pas encore pris l'habitude.
Elle se rapprocha, s'accroupit pour être à sa hauteur.
— Tu penses vraiment tout ça ?
— Vraiment. Le vin m'a simplement délié la langue.
— Pourquoi ?
— J'aurais dû me douter que rien n'est jamais simple avec toi ! Comment diable veux-tu que je sache pour­quoi ? Je le pense, c'est tout. Depuis que je le pense, je veux que tu sois heureuse, et je sais que tu ne seras pas heureuse tant que tu n'auras pas trouvé toutes tes ré­ponses. Par conséquent, j'ai le devoir de te pousser à continuer et à t'aider. Et quand ce sera terminé, nous pourrons peut-être enfin nous occuper de nous deux.

mdr ninou !
les femmes sont un mystere pour l'homme et elles ne sont jamais satisfaite de leur raison ! j'adore qu on les tourne en bourrique ! vive les femmes! mdr

Un extrait de Fangirl de Rainbow Rowell


Cath est plutôt renfermée. Elle ne sort pas beaucoup et préfère passer son temps sur son ordinateur. Ici, elle discute avec sa colocataire Reagan (qui a une forte personnalité^^). 

« Cath leva les yeux au plafond, se disant que la vérité était parfois plus simple qu’un mensonge. Mais…
— Je ne sais pas où est le réfectoire.
— Ça fait un mois que tu es là.
— Je sais.
— Et tu n’as pas trouvé le réfectoire ?
— Je n’ai pas vraiment cherché.
— Pourquoi tu n’as pas demandé à quelqu’un ? Moi, par exemple…
Cath roula des yeux et soutint le regard de Reagan.
— Parce que tu répondrais à mes questions débiles ?
— Si elles concernent la bouffe, l’eau, l’air ou la piaule… oui. Hé, Cath, on est coloc, je te rappelle…
— OK, dit Cath, avant de retourner à son livre. Noté.
— Tu voudrais que je te montre le réfectoire ?
— Non, merci, ça ira.
— Tu vas survivre comment si tu ne manges que des barres protéinées ? Qui plus est, tes réserves s’amenuisent.
— Mes réserves vont très bien, merci.
Reagan soupira.
— Disons que Lévi s’est peut-être servi deux ou trois fois… »

Vos extraits sont excellents, les filles !  

Allez, je vais vous mettre un extrait de Cinquante nuances de Grey, vous en mourez d'envie  

Parker Jones a écrit:

— Vous m'avez déshabillée ?
— Oui.
Il hausse un sourcil ; je rougis furieusement.
— Nous n'avons pas... ?
Ma bouche est trop sèche pour que je termine la question.
— Anastasia, vous étiez dans le coma. La nécrophilie, ça n'est pas mon truc. J'aime qu'une femme soit consciente et réceptive.

 

Oh la la! Que de souvenirs!! Je pense que je vais m'y replonger^^

Ahaha super vos teasers les filles !

Je posterai le mien ce soir en rentrant à la maison !   

Parker Jones a écrit:
Allez, je vais vous mettre un extrait de Cinquante nuances de Grey, vous en mourez d'envie  

Je n'ai même pas honte (non non ) d'avouer que je ne l'ai toujours pas lu celui-là ! J'attends ton avis complet pour voir si je me lance ou pas tiens !! 

ninou-lilou a écrit:

Parker Jones a écrit:
Allez, je vais vous mettre un extrait de Cinquante nuances de Grey, vous en mourez d'envie  

Je n'ai même pas honte (non non ) d'avouer que je ne l'ai toujours pas lu celui-là ! J'attends ton avis complet pour voir si je me lance ou pas tiens !! 

J'ai l'impression que tout le monde attend mon avis, vous me mettez la pression, les filles !    
J'en suis aux deux-tiers, ça vient !  

Ca fait un bail que je voulais mettre cet extrait


Tome 5 de la chronique des anciens
Pour celle qui aiment le couple Pia et Drago

He ran his hands down her body, rock hard and aching for her. He knew this hunger for her would never ease, never die away. “You are never going to get trapped in a magical forest fire again,” he growled against her lips. “Do you hear me, Pia? That flight took millennia off my life.”
“I’m sorry,” she whispered. “It won’t happen again.”
“Goddamn right it won’t,” he said between his teeth.
Gaeleval was a dead man walking; he just didn’t know it yet. Dragos would find and stop him because he wouldn’t allow the kind of destruction that had come before. But he was going to rip Gaeleval limb to limb because the Elf had put Pia in danger and because he had dared to try to take her.
She threaded slender fingers through his hair as she kissed him, and he bent to pick her up and carry her to the bed. Then he laid her on top of the covers and came down on her, and he covered her body with his. In a move that was as natural as breathing, she wrapped her long, fabulous legs around his waist and her arms around his neck. She held him with her whole body, and he was home.
Home. It was a concept to which he had never given much thought. Self-contained and solitary by nature, his home had always been within himself, but not any longer.
“I love you,” she whispered against his mouth.
He lifted his head to look at her. She smiled at him, golden-skinned in the firelight, her eyes as rich as sapphires. He laid his fingertips along the exquisite, delicate curve of her cheekbone.
The dragon came to a realization and was amazed. In the unending years of his acquisitive existence, despite all his hoarding of the treasures of kingdoms and emperors, he had never been rich before this. She had come into his life to steal from him, and in the process she had given him everything she had.
“I love you,” he said.

   C'est pas joli ?  

Juliska a écrit:Ca fait un bail que je voulais mettre cet extrait

Tome 5 de la chronique des anciens
Pour celle qui aiment le couple Pia et Drago

He ran his hands down her body, rock hard and aching for her. He knew this hunger for her would never ease, never die away. “You are never going to get trapped in a magical forest fire again,” he growled against her lips. “Do you hear me, Pia? That flight took millennia off my life.”
“I’m sorry,” she whispered. “It won’t happen again.”
“Goddamn right it won’t,” he said between his teeth.
Gaeleval was a dead man walking; he just didn’t know it yet. Dragos would find and stop him because he wouldn’t allow the kind of destruction that had come before. But he was going to rip Gaeleval limb to limb because the Elf had put Pia in danger and because he had dared to try to take her.
She threaded slender fingers through his hair as she kissed him, and he bent to pick her up and carry her to the bed. Then he laid her on top of the covers and came down on her, and he covered her body with his. In a move that was as natural as breathing, she wrapped her long, fabulous legs around his waist and her arms around his neck. She held him with her whole body, and he was home.
Home. It was a concept to which he had never given much thought. Self-contained and solitary by nature, his home had always been within himself, but not any longer.
“I love you,” she whispered against his mouth.
He lifted his head to look at her. She smiled at him, golden-skinned in the firelight, her eyes as rich as sapphires. He laid his fingertips along the exquisite, delicate curve of her cheekbone.
The dragon came to a realization and was amazed. In the unending years of his acquisitive existence, despite all his hoarding of the treasures of kingdoms and emperors, he had never been rich before this. She had come into his life to steal from him, and in the process she had given him everything she had.
“I love you,” he said.

   C'est pas joli ?  

Cette série me tente vraiment beaucoup et cet extrait ne fait que renforcer mon intérêt :p Merci pour ce très bel extrait  

J'avoue que ce tome me réconcilie avec la série