Teaser Tuesday #63

After a quick shower, Fin and Ryan arrived at her parents' house. His heart had been in his throat the entire drive as Fin crunched and ground the gears of his beloved car. He didn't yell once, and if it wasn't love, he didn't know what it was."

Trad VF:

I'm glad you couldn't keep your hands off me. When I close my eyes at night I feel them running over my bare skin as though you're still there. I feel your hand resting on my chest at night like you used to, and I know it's because you like to feel the beat of my heart beneath your fingers. Did you know that you always sleep deeper that way? Some nights you cry out in your sleep, and it hurts just hearing it, but then you hand will eventually settle over my heart and your breathing evens out."

Trad VF:

"-You held a gun at my head and let me believe you were going to kill me! Now you break into my home, take advantage of me, and ask me to help you?". He didn't know whether to laugh or shout. "Take advantage of you? Correct me if I'm wrong, but you said 'yes'. Actually, I think you said 'Oh, yes', and 'Please, Hunt', and then it was just, 'Oh, God', and a few 'ooohs' and 'aaahs'." [...] "I... I was confused." Marc didn't have the time for this game. "Confused my ass! Was it confusion  that had you grabbing my fly?"

Trad VF:

Trad VF:

Zazazoo a écrit:Penny tu vas me tuer avec tes extraits ... C'est décidé, j'attaque Fighting Redemption dès que j'ai terminé le M/M que j'ai commencé hier.

"Je ne crois pas qu'on puisse cesser d'aimer quelqu'un", expliquais-je enfin. (Cela l'intrigue). "Je pense que quand on tombe amoureux, vraiment amoureux, c'est pour la vie. Le reste n'est qu'aventures et illusions". 

"Je ne t'imaginais pas si philosophe", fait-elle remarquer en souriant. "Je trouve ça très romantique". 

Généralement, c'est elle qui rougit, mais elle m'a eu cette fois. Je voudrais ne plus la regarder mais ne parviens pas à détacher mes yeux des siens.

Ce fut un coup de foudre, immédiat, violent, irrémédiable. Je ne pensais pas que ça existait dans la vraie vie, seulement dans les romans d'amour. Et je croyais encore moins qu'un garçon aussi raisonnable et peu romantique que moi – c'est ainsi que je me voyais à l'époque, je n'ai pas d'autre excuse que la jeunesse – puisse y être sujet. Et pourtant. Tout bascula en cet instant, en une seconde, ma vie entière. Je restais, immobile, pétrifié au milieu de la salle, tandis que mes condisciples se bousculaient autour de moi pour aller s'assoir, mon cœur battant trop fort dans ma poitrine, des papillons dans le ventre, les jambes en coton, les joues rouges, sous le poids d'un regard gris pénétrant. Il était beau… magnifique. Un visage aux traits parfaits, comme une statue antique, des cheveux blonds un peu en bataille, ses beaux yeux gris observant le monde avec une infinie curiosité derrière ses petites lunettes rondes cerclées d'or, un fin sourire étirant ses lèvres bien dessinées, menton carré.

#1 a écrit:De l'eau brûlante jaillit d'une dizaine de jets, l'enveloppant d'un nuage de buée. Elle poussa un soupir de plaisir, sursauta quand Connors ouvrit la porte de la cabine.
- Ne t'avise pas de baisser la température, sinon gare à toi, menaça-t-elle.
- Ce matin, j'ai envie de jouer avec toi les homards au court-bouillon.

#2 a écrit:Elle devait l'admettre : quatre heures d'un sommeil de plomb, plusieurs orgasmes sous la douche et un repas chaud, ça vous remettait une femme d'aplomb. À 7h15, elle était à son bureau, à la maison, débordante d'énergie, les idées claires. 

Si le fait que je vous touche ne vous dégoûte pas, pourquoi vous dérobez-vous aussi vivement ?

Elle était prise au piège. Il semblait toujours en colère, mais aussi très triste.

- Que vous me touchiez ne me dégoûte pas, major. Cela me...

- Je me sens... en pleine confusion. La façon dont vous me regardez...et quand vous me touchez...je...j'ai chaud. Même si il fait froid. Et je frisonne.

Honteuse, elle voulut se détourner, mais il lui attrapa le menton et la contraignit à garder les yeux rivés aux siens. Pendant un moment il la considéra et, peu à peu, son expression courroucée se dissipa. Lorsqu'il reprit la parole, ce fut d'un voix douce.

- Ce que vous ressentez a un nom, Sarah. Voulez-vous le connaître ?

Elle secoua la tête.

- Connor, je...

- Désir. Cela s'appelle du désir.

- Non ! s'exclama-t-elle en reculant.

- Non ? Alors vérifions.

Il la prit dans ses bras et l'embrassa.

Juliska a écrit:Eve Dallas T9 Candidat au crime 



En fait il y en a 2  

#1 a écrit:De l'eau brûlante jaillit d'une dizaine de jets, l'enveloppant d'un nuage de buée. Elle poussa un soupir de plaisir, sursauta quand Connors ouvrit la porte de la cabine.
- Ne t'avise pas de baisser la température, sinon gare à toi, menaça-t-elle.
- Ce matin, j'ai envie de jouer avec toi les homards au court-bouillon.

#2
Elle devait l'admettre : quatre heures d'un sommeil de plomb, plusieurs orgasmes sous la douche et un repas chaud, ça vous remettait une femme d'aplomb. À 7h15, elle était à son bureau, à la maison, débordante d'énergie, les idées claires. 

pourquoi il est interné:

She held up a paper. In the candlelight, the ink was dark and clear.
YES!
Yes, yes, yes, he wanted to shout. You heard me, you understood ; I’m here!
But he did nothing. Suddenly he was afraid to move, afraid that he would frighten her away after trying to do it an instant before. She became precious, priceless, a jewel beyond measure; he could not, couldnot hazard doing anything wrong now.
He realized he’d begun breathing too fast. He corrected that, contained himself. With a conscious effort, he relaxed his arms and opened his fists, resting his bound hands back against the bed. He looked into her eyes and risked a short, emphatic nod.
“Sign fusha,” she said, with a little stress. “Yes?”
Yes, he thought. Yes. He thought he might say yes, and then didn’t chance it. Cautiously, he nodded again.
“Sighn,” she said. “Sighn fu shon.”
Sighnfushon. Fushon sign. The words went around in his head, sign fun, fuhn sighn, sign funsignshon, mix tumble, two dice, wheel… dizzy.
“Sign funshun,” she said again, kneeling beside him, rattling the paper.
He looked at the symbols. He knew what the series made, he understood its meaning—
And the revolving words fell, dropped into the cup, settling.
Sine function.
Of course.
Sine function. He gave a faint, bewildered chuckle. The candlelight guttered, casting pulsing shadows on her face as she knelt, prim cap, siren lashes, virtue, Miss.

He wet his lips. “Sine,” he said hoarsely.
“Yes!”
“Yes.” The word came explosively, as if he had to push it through, to break a wall. “Sine, yes.”
She smiled. It was like morning in the shadows; it razed his heart; he found himself in love, in an agony of passion.
“Sine… func… tion,” his beloved said.

VF:

Penny_Cilline a écrit:Isa et Laenic, vos extraits sont tellement       

Laenic a écrit:

Penny_Cilline a écrit:Isa et Laenic, vos extraits sont tellement       

Oh je n'avais pas fait attention Penny, ton nouveau pack est superbe !!

Merci Laenic!