Teaser Tuesday #51

C'est mardi et le rendez-vous hebdomadaire du Teaser Tuesday ! Donnez-nous envie, les filles !



Teaser Tuesday est un concept américain, lancé à l’origine par Should be Reading, et suivi chaque semaine par des milliers de blogueurs à travers le monde.

Nous avons donc ainsi décidé de nous prêter au jeu et de les rejoindre !

Le principe est simple : chaque mardi, attrapez votre lecture en cours (ou celle que vous venez juste de terminer si vous n’en êtes qu’au tout début) et partagez avec nous une ou deux citations de cet ouvrage.

Le but est de nous faire vivre vos plus beaux moments de lecture & de « teaser » vos copinautes (en bref, leur donner envie de lire, rien qu’avec ces deux citations).

Comment participer ?

Chaque semaine, un nouveau sujet sera ouvert et vous permettra de poster les noms de l’œuvre et de l’auteur, la couverture (si possible) en format moyen, puis vos citations.

Une seule petite règle à respecter (et ce pour des raisons évidentes), nous vous demandons de ne pas mettre de spoilers ! Évitez ainsi les : « Je suis ton père, Luc » ou encore « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ».

Attention, le sujet sera verrouillé à minuit.

Bon mardi, et à vos plumes !

PS : Je rappelle qu'une citation n'est pas un extrait d'une demi-page !

Je n'ai pas d'extrait à vous proposer encore cette semaine   Il n'y a pas de romance dans ma lecture actuelle, ni de scène rigolotte: c'est du sérieux, très sérieux même. Mais j'attends les vôtres avec impatience

Moi j'ai quelques extraits de mes dernières lectures, j'essaierai de les poster ce soir !

Pfff je suis TOUJOURS dans Tangled mais en anglais je ne trouve pas vraiment les passages accrocheurs et puis j'avoue que je commence à en avoir marre de l'avoir en cours :P 
J'ai hâte de lire vos extraits pour peut être me sortir de ma torpeur de lectrice

Pas d'extraits non plus cette semaine, je suis toujours sur mon torchon hyper mal écrit, c'est pas dessus que je vais trouver quelque chose d'attrayant

Allez ! Une petite tirée du livre que je lis avec déléctation en ce moment ("J'ai failli dire je t'aime" de Fédérico Moccia) et qui donne entre autre le ton de ce roman. Le héros, Alessandro cite une phrase de Woody Allen : "les ennuis sont comme des feuilles de papier toilette : tu en prends une, tu en as dix".  
J'ai bientôt fini ce roman et je ferais une fiche car je suis tombée amoureuse de cet auteur

Bon je vais me jeter à l'eau avec ce livre que j'aime beaucoup:

Aaaah ce Stephen!   

«En 1925, il avait fait l'acquisition de trois Ford modèle T, pour 281 dollars chacune. Il avait revendu la dernière l'année précédente, pour une somme si indécente qu'il avait presque eu honte d'encaisser le chèque. Presque.»



Liam McCathal dans «Le Clan Kahill - 4 : Insatiable», V. K. Forrest.

Les filles, j'adore vos extraits  
@Arianouchka : Tu me donnes envie de découvrir cet auteur  


Il s'agit d'une conversation entre Deuce et son fils Cage à propos d'Eva.
Pour info Marinda est la maîtresse de Deuce.

Dad?"
"Yeah?"
"She the reason you’re pissed off all the time?"
"Yeah."
"She the reason you left mom?"
"Yeah."
"You love her?"
"Yeah."
There was a long pause.
"Cool."
"…yeah."
"Dad?"
"Jesus, Cage.  What?"
"Does this mean I can have at Miranda?"
Christ.
"Yeah, you fuckin' hornball.  Have at it."
"Cool.”

je viens de le terminer, j'ai beaucoup aimé!





— Non Justin, tu ne nous déranges pas. En vérité, tu arrives juste à point pour te joindre à nous. Je t'en prie, ajouta-t-il en désignant du menton le petit fauteuil voisin, assieds-toi.
— Oh non ! protesta ce dernier. Ce ne sera pas nécess...
— Balivernes ! Permets-moi d'insister, Justin et de te présenter Mlle Callie Albright, l'hôtesse las plus exquise de tout Halstead. Callie, je te présente M Justin Mallory, un de mes plus chers amis.
La petite fille le considéra avec attention de dessous le rebord d'un gigantesque chapeau orné de plumes multicolores.
— Comment allez-vous, monsieur Mallory ? dit-elle avec un sourire suave. Je vous en prie, asseyez-vous. Nous allions justement commencer notre thé.
Contournant la table, elle présenta un minuscule fauteuil à Justin.
— Vous pouvez vous mettre ici, à côté de mademoiselle Joséphine Chilton Jones.
Avec un amusement pervers, Stephen observa Justin, dont le regard alla plusieurs fois du petit siège à la poupée plutôt décatie, et de la poupée au visage plein d'espoir de Callie. Bon perdant, il finit par déposer à terre le paquet qu'il portait, s'approcha du minuscule fauteuil et y insinua avec précaution ses hanches. Comme Stephen, il se retrouva avec les genoux sous le menton.




Croisant les jambes en tailleur, il s'assit près de l'âtre. Callie prit place à son côté, et tous deux entreprirent de recoudre les membres de miss Joséphine. La fillette soutenait le bras pendant que Stephen piquait le tissu de grands points maladroits, les lèvres pincées pour éviter de lâcher un juron chaque fois que l'aiguille s'enfonçait dans sa chair.
— Faites attention de ne pas trop vous piquer, monsieur Barrettson, conseilla Callie. Sinon, vous allez vous retrouver avec un tatouage.
— Pardon ?
— C'est comme ça qu'on fait les tatouages, vous ne saviez pas ? Avec des aiguilles. J'ai entendu Winston le raconter à Grimsley. D'abord vous vous pintez au rhum. Ensuite, quand vous êtes soûl, on vous pique avec des aiguilles. Et après, vous allez avec les gars au bordel. C'est quoi, un bordel ? s'enquit-elle alors en inclinant la tête.

belle étoile a écrit:
je viens de le terminer, j'ai beaucoup aimé!

Stephen, marquis de Blenfield, a été victime d'une tentative de meurtre. Blessé, il a été recueilli par l'excentrique famille Albright, composée de Hayley, la ravissante fille aînée qui élève ses frères et sœurs, dont la petite Callie, 6 ans, ainsi qu'une vieille tante sourde, un cuistot italien sanguin et deux anciens marins au langage assez leste. Stephen a fait parvenir un message à son meilleur ami Justin, qui vient lui rendre visite et le tenir au courant des progrès de l'enquête pour identifier le commanditaire du meurtre.

L'expression mi-incrédule, mi-goguenarde qu'arborait son ami obligea Stephen à le foudroyer du regard. Mais comment paraître menaçant lorsque l'on tient entre ses doigts une tasse à thé de dînette ? Pire, lorsqu'on est coincé dans un fauteuil d'enfant, devant une table d'enfant, plié en deux et les genoux sous le menton ?

— Non Justin, tu ne nous déranges pas. En vérité, tu arrives juste à point pour te joindre à nous. Je t'en prie, ajouta-t-il en désignant du menton le petit fauteuil voisin, assieds-toi.

Il faillit partir d'un éclat de rire devant la mine horrifiée de son ami.

— Oh non ! protesta ce dernier. Ce ne sera pas nécess...
— Balivernes ! Permets-moi d'insister, Justin et de te présenter Mlle Callie Albright, l'hôtesse las plus exquise de tout Halstead. Callie, je te présente M Justin Mallory, un de mes plus chers amis.
La petite fille le considéra avec attention de dessous le rebord d'un gigantesque chapeau orné de plumes multicolores.
— Comment allez-vous, monsieur Mallory ? dit-elle avec un sourire suave. Je vous en prie, asseyez-vous. Nous allions justement commencer notre thé.
Contournant la table, elle présenta un minuscule fauteuil à Justin.
— Vous pouvez vous mettre ici, à côté de mademoiselle Joséphine Chilton Jones.
Avec un amusement pervers, Stephen observa Justin, dont le regard alla plusieurs fois du petit siège à la poupée plutôt décatie, et de la poupée au visage plein d'espoir de Callie. Bon perdant, il finit par déposer à terre le paquet qu'il portait, s'approcha du minuscule fauteuil et y insinua avec précaution ses hanches. Comme Stephen, il se retrouva avec les genoux sous le menton.

Tard cette nuit-là, Callie vient trouver Stephen , en larmes. L'un des chiens a déchiqueté sa poupée adorée, Miss Joséphine. Attendri, Stephen, qui n'a jamais tenu une aiguille de sa vie, promet de tout faire pour sauver la poupée. Après lui avoir nettoyé sa robe et donné un bain, le voilà improvisé chirurgien.

— Et bien, allons-y, dit-il.

Croisant les jambes en tailleur, il s'assit près de l'âtre. Callie prit place à son côté, et tous deux entreprirent de recoudre les membres de miss Joséphine. La fillette soutenait le bras pendant que Stephen piquait le tissu de grands points maladroits, les lèvres pincées pour éviter de lâcher un juron chaque fois que l'aiguille s'enfonçait dans sa chair.
— Faites attention de ne pas trop vous piquer, monsieur Barrettson, conseilla Callie. Sinon, vous allez vous retrouver avec un tatouage.
— Pardon ?
— C'est comme ça qu'on fait les tatouages, vous ne saviez pas ? Avec des aiguilles. J'ai entendu Winston le raconter à Grimsley. D'abord vous vous pintez au rhum. Ensuite, quand vous êtes soûl, on vous pique avec des aiguilles. Et après, vous allez avec les gars au bordel. C'est quoi, un bordel ? s'enquit-elle alors en inclinant la tête.

 
Ça me donne bougrement envie de le lire, celui-là ! Je crois qu'il va rejoindre ma PAL bientôt

C'est une jolie histoire, et j'adore cette petite Callie.

Je viens de noter dans ma wish-list le livre de Belle Etoile de Para. Vous êtes de véritables tentatrices les filles  Merci pour tout vos beaux extraits  

Voici un extrait de mon premier coup de coeur en VO. Je l'ai fini hier soir... tard. 

When his eyes lowered under their lashes, I inhaled at the shock-like feeling that jolted through me as his gaze travelled down my body and back up again. I felt like squirming, overwhelmed under his flagrant perusal, though usually, if a guy checked me out like that, I would just smile back flirtatiously. The moment his eyes came back to my face, he offered me one last searing look – a look that I felt like a callused caress down my body – and then dragged his gaze away. Feeling dazed and decidedly turned on, I watched him stride off behind one of the art walls that divided the gallery into sections.    ‘Who was that?’ Joss’s voice broke through my fog. I blinked and turned back to her with what I imagined was a stupefied look on my face. ‘I have no idea.’   
Joss smirked. ‘He was hot'