Une épouse pour Lorenzo Santangeli de Sara Craven

Quatrième de couverture :

Comment supporter un jour de plus la cohabitation avec Lorenzo
Santangeli ? Désespérée, Marisa décide de s’enfuir et de tout faire pour
oublier le milliardaire froid et cynique qu’elle a eu la folie
d’épouser pour respecter l’accord que sa famille, proche de la ruine, a
passé avec lui. Mais alors qu’elle espère refaire sa vie — et obtenir le
divorce —, Lorenzo la retrouve à Londres. Et très vite, elle comprend
qu’il refuse toute idée de séparation. Au contraire, il exige qu’elle
revienne vivre auprès de lui en Italie, afin de lui donner, enfin, un
héritier…



ma lecture :

Alors je donne mon avis pour vous évitez d'acheter un livre très décevant.
Lorenzo doit se marier pour avoir un descendant. Il est italien, issu d'une vieille famille et bien entendu, il est beau, riche, intelligent.
Je vous laisse deviner pour sa promise. Je vous préviens, on a tout les clichés possibles et imaginables dans ce livre : elle est vierge, elle a été élevée par une tante acariâtre (forcément elle est orpheline), elle a été élevée en Angleterre pour ne pas être en contact avec Lorenzo pour que la future alchimie ne s'émousse pas (oui, on est en plein délire) et Lorenzo se pointe lorsqu'elle a 19 ans pour se fiancer avec elle. Forcément, la vieille peau lui a donné des idées pas possibles sur les rapports sexuels comme quoi elle n'est là que pour être une poulinière (enfin elle a pas tort mais bon, on parle de Lorenzo non, ne pourrait-elle pas se satisfaire d'être une bien heureuse femme avec un homme merveilleux et qui sera sans aucun doute possible un amant merveilleux - faîtes une petit effort tout de même madame l'oie blanche).
Forcément elle est malheureuse (toute ma sympathie), forcément il ne va pas la laisser divorcer (il est italien non mais).
Après, c'est une longue histoire de "mais si... " "non, ce n'est pas possible...".
Il est à noter que je parle bien d'une "longue histoire" alors que ce ne sont que des romans de 100 pages. C'est dire le degré de pénibilité.

Bref, faites demi tour si vous le voyez à moins que vous soyez comme moi, avide de stabiloter tout ce qui fait pitié dans les clichés "de la petite chose fragile".

Ma note : /5