Anita Blake, tome 4 : Lunatic Café

Résumé:
On dirait que je le fais exprès. Je suis tombée amoureuse du chef de
meute local. Non, pas un louveteau. Un loup-garou, bien sûr !
Maintenant, il y a des tas de filles dans ma tranche d'âge qui
n'arrivent pas à se dégotter un petit ami. Et c'était mon cas avant
Richard. Certes, Jean-Claude, mon vampire préféré, ne demanderait pas
mieux, mais son côté possessif a tendance à me démotiver. Même si
c'était un homme ordinaire, j'aurais déjà du mal à imaginer une vie de
couple avec lui. Côté sexe, ça oui : no problemo, je vois très bien,
mais sortir... Aller au restaurant, au spectacle, fréquenter ses amis.
Franchement non ! On a beau être dans une histoire d'horreur, il y a des
limites !

Je suis plutôt déçu par ce tome. pourtant, il se passe dans l'univers des loup garou et des métaphores ce que j'apprécie particulièrement d'habitude. Mais là, cela n'a pas suffit.
L'action peine a démarré (200 pages sur 450) puis elle est vite mise de côté aux profit des relations entre Anita et Richard. Ces passages sont intéressant car on voit qu'anita n'avait pas réaliser ce que cela signifie vraiment de sortir avec un garou. Par contre je trouve que le trio formé avec l'ajout de Jean-Claude est très mal amené. Enfin comme on ne se préoccupe presque pas de l'intrigue dans le roman le dénouement est donc assez précipité ce qui est fort dommage car l'intrigue était intéressante.

Très bon tome, où on découvre divers branches de garous et où les relations dans le trio Anita-Richard-Jean Claude évoluent. On la sent plus attirée par ce dernier, même si elle reste avec Richard, qui commence à nous révéler une part de sa personnalité et de son importance au sein de sa meute. Mais effectivement, elle découvre aussi ce que ça représente de sortir avec un loup. Et lui, découvre un peu plus de la personnalité d'Anita. A voir si ça va continuer à lui plaire... On avance, doucement mais sûrement... L'histoire autour de la disparition de plusieurs garous et lycanthropes est agréable à lire mais comme le dit audel, le dénouement se fait tout d'un coup alors qu'on avait l'impression que l'histoire n'avait pas vraiment avancé