Two can play de Ali Hazelwood

Viola Bowen a la chance de toute une vie : créer un jeu vidéo basé sur sa série de livres qu'elle préfère par-dessus tout. Le seul problème ? Le collègue avec lequel elle va devoir travailler, c'est Jesse Pu**in Andrews, alias son ennemi juré. Jesse lui a largement fait comprendre au fil des années qu'il ne veut rien avoir à faire avec elle, et Viola ne sait absolument pas pourquoi.

Lorsque leurs patrons respectifs insistent sur le fait qu'organiser un séjour à la neige
est l'exercice idéal pour renforcer l'esprit d'équipe, Viola ne peut pas imaginer pire idée. Se les geler dans un chalet paumé à la montagne tout en sachant que la chambre de Jesse est juste à côté de la sienne ?  Non merci.

Mais alors que la neige ne cesse de tomber, Viola découvre que Jesse a bien plus à offrir qu'elle ne le pensait, et la température monte de plus d'une façon.

Haaaan c'était trop bien !!!
Je me suis vraiment régalée du début à la fin, avec cette lecture drôle, swoonante et couinante à souhait ! Je sais sans aucun doute que je le relirai dès qu'il sortira en papier, parce que pour le moment, il est exclusivement disponible en audiobook.

Le pitch en quelques mots ? Des employés de deux studios de jeux vidéos concurrents vont devoir passer 5 jours tous ensemble dans un chalet, sous la neige. Le but ? Ne pas s'entretuer, déjà, et ensuite trouver un terrain d'entente pour arriver à décrocher ensemble un contrat pour créer un jeu vidéo adapté d'une série de romans chers au cœur de l'héroïne. Et on ajoute à ça deux persos qui se semblent pas pouvoir se supporter et se sont croisés plusieurs fois au fil des ans, à la fois dans le contexte pro et perso.

Côté tropes on peut compter sur du :
- rivals-to-lovers
- broody MMC
- forced proximity
- slow burn

Jesse est un boook boyfriend absolument délicieux, je craque complètement pour ce genre de perso qu'on retrouve presque systématiquement chez Hazelwood : un mec discret, taiseux, mais franchement intense dès qu'on gratte sous la surface. Je pense toujours à Darcy comme père spirituel de cet archétype de héros ...

C'était vraiment une super lecture, Ali Hazelwood m'a fait swooner comme au premier jour, et pour une fois, je n'ai pas trouvé que les scènes hot étaient cringe, alors vraiment c'était top du début à la fin, mais trop court, j'en voulais beaucoup plus !

.5/5