{Calendrier de confinement} Samedi 21 novembre

En fait c'est tout le paradoxe des romans de Mariana Zapata. Oui c'est lent, oui la romance au sens "traditionnel" du terme ne se concrétise que tard dans le livre, mais tout ce qui précède a tellement de sens. C'est bizarre à dire, mais chez elle, les personnages sont en quelque sorte déjà en couple, dans la mesure où ils partagent un lien fort. Le moindre petit geste, regard, parole ... a beaucoup de sens et du coup, c'est là que réside l'effet doudou.
Et aussi que ça puisse paraître, on est tellement bien dans ses romans, qui sont de sacrés pavés, qu'on ne voit pas les pages défiler,et tout slow burn que c'est, en fait, ça passe vite !