Teaser # 100 : la 100ème !!

Spoiler:

Spoiler:

Résultat ... Hummmmm ???:

passagère:

— [...] On a encore razzié mon Auto Chef. Il me restait deux barres de vrai chocolat, on me les a piquées. Je finirai bien par attraper les coupables et je leur arracherai la peau. En prenant tout mon temps. Qu'est-ce que tu fabriques ici ?
— Je t'adore. De toute mon âme.
Ce fut plus fort que lui, il lui prit le visage et l'embrassa.
— Mon Dieu, comment ai-je pu vivre sans toi ?
— Arrête, marmonna Eve en scrutant le couloir de crainte qu'on ne les observe - si on les voyait, on se paierait sa tête pendant une semaine. Viens dans mon bureau.
— Avec plaisir.
Il la suivit, ferma la porte et enlaça Eve pour lui donner un long baiser passionné.
— Je suis de service, murmura-t-elle en se laissant aller contre lui.
— Je sais. Juste une minute...
Un jour peut-être il ne s'étonnerait plus de l'aimer si fort, d'avoir tellement besoin d'elle, de la désirer aussi follement. Mais pour l'instant il en était sidéré, ébloui.
Il l'embrassa encore, promena ses mains sur elle.
— Mmm... ça devrait me permettre de tenir quelques heures.
Elle poussa un long soupir tremblant.
— Dis donc... tu me fais plus de bien que du faux chocolat.
— Eve chérie, tu me flattes.

Il prit son visage entre ses paumes, déposa un baiser sur son front. Puis il la regarda droit dans les yeux et s'exprima dans sa langue maternelle.
— Pardon ? fit-elle.
Il lui sourit.
— J'ai dit : « Tu es le battement de mon coeur, le souffle de mon corps, la lumière de mon âme. »
Profondément touchée, elle lui saisit les poignets.
— Même quand je t'énerve ?
— Surtout quand tu m'énerves.

— Arrête ! Eve, arrête !
Connors était conscient de lui avoir fait mal, mais la douceur puis la fermeté n’avaient pas suffi à l’extraire de son cauchemar. Paniqué, il craignit un instant qu’elle n’en réchappe jamais.
— Eve. Mon Eve adorée. Pour l’amour du ciel, réveille-toi !
Il lui immobilisa les bras, la maintint alors qu’elle s’arcboutait en hurlant.
— Non. Non, reviens-moi, Eve. Eve, répéta-t-il dans l’espoir de l’atteindre. Je t’aime, Eve. Je suis là. Tu es en sécurité. Lieutenant Eve Dallas, murmura-t-il en pres­sant les lèvres sur ses cheveux, sa tempe. Mon amour. A ghra. Eve.

Elea a écrit:Ben sûr, on me demande de choisir une de mes citations préférées, alors je pioche dans la série Insaisissable de Tahereh Mafi ! (oui je sais qu'elle surprise  )

J’ignore où tout cela nous mènera. On est des heures et des minutes qui tentent de saisir la même seconde ; on gravite ensemble, main dans la main vers des jours nouveaux et la promesse d’un avenir meilleur.
Mais si on connaitra l’avenir et qu’on connait le passé, on ne connaitra jamais le présent. Cet instant et le suivant, et même celui qui aurait dû suivre ne sont plus là, sont déjà écoulés, et il ne nous reste plus que ces deux corps épuisés, unique preuve qu’on a traversé le temps et qu’on y a survécu.
Mais ça vaudra le détour, au final.
De se battre pour toute une vie jalonnée de ces instants précieux.

C'est un baiser profond, incroyable.
Un baiser qui incite les étoiles à grimper dans le ciel et à illuminer l'univers. Un baiser qui dure des siècles et un battement de coeur. Ses mains entourent mes joues et il recule un peu pour me regarder dans les yeux et sa poitrine se soulève et il dit : « Je pense que mon cœur va exploser… », et j’aimerais, plus que tout, savoir comment immortaliser ces moments pour les revivre à jamais.
Parce que celui-ci
vaut tout l’or du monde.

Je suis au-delà de toute pensée logique. Au-delà des mots, au-delà des idées intelligibles. Les secondes se muent en minutes et les coeurs cessent de battre et les mains s'entrelacent et j'ai trébuché sur une planète et je ne sais plus rien de rien, je ne sais rien parce que rien ne sera plus jamais comparable à cet instant.
Plus rien ne pourra jamais représenter ce que j'éprouve en ce moment.

Je fonds....

KOLHER

Après que Kolher eut expliqué à Beth ce qui était arrivé à ses parents et pourquoi il se sentait coupable

- Kolher, répète après moi : oui, Beth, je comprends et j'ai confiance en la sincérité de tes sentiments pour moi. (De nouveau, elle lui secoua le cou.) Allez, répète après moi. (Un autre silence.) Maintenant.
- Oui, dit-il, lèvres serrées.
Mon Dieu, s'il serrait encore plus les lèvres, il allait faire sauter ses dents de devant.
- Oui, quoi ?
- Oui, Beth.
- J'ai confiance en la sincérité de tes sentiments pour moi.
Il marmonna les mots.
- Bien.
- T'es dure, tu sais ça ?
- Il vaut mieux, si je dois rester avec toi.
Soudain, il prit le visage de Beth dans ses mains.
- Je le veux, déclara-t-il avec fougue.
- Quoi ?
- Que tu restes avec moi.
Elle en eut le souffle coupé. Un espoir ténu s'enflamma dans son coeur.
- C'est vrai ?
Il ferma les yeux et secoua la tête.
- Ouais. Et c'est complètement stupide. C'est dingue. Et dangereux.
- ça doit pas te changer beaucoup.
Il éclata de rire et la regarda.
- Ouais, t'as raison !
Mon Dieu ! La tendresse qu'elle lisait dans les yeux de Kolher lui brisait le coeur.
- Beth, je veux rester avec toi. Mais tu dois comprendre que tu vas devenir une cible. Et je sais pas comment te protéger. Je sais pas comment...
- On trouvera, répondit-elle. On y arrivera ensemble.
Il l'embrassa. Un baiser long. Langoureux. Amoureux.

Après la transformation de Beth en vampire, elle a affronté la lumière du jour (avec succès) et décide de retenter l'expérience... au grand détriment de Kolher

- Kolher, je vais bien.
Il la regarda.
- Je crois que je vais m'évanouir.
- Ce qui, sur le plan physiologique, est quasiment impossible. Parce que tu es allongé.
- Bordel, leelane, je t'aime tellement que je suis mort de trouille à l'idée de ce qui pourrait t'arriver.
Quand elle posa ses lèvres sur les siennes, il la saisit par la nuque, pour éviter qu'elle bouge.
- Je ne pourrais pas vivre sans toi.
- Tant mieux, car c'est pas le plan. Maintenant, dis-moi un truc. Comment on dit "époux" dans ta langue ?
- Hellren, j'imagine.
De nouveau, son téléphone portable sonna, ce qui lui tira un chuintement.
- Réponds pendant que je vais à la cuisine, dit-elle. Tu veux quelque chose ?
- Toi.
- Tu m'as déjà.
- Et je remercie Dieu pour cela.

Lily fouille les tiroirs de son frère décédé Léo.. elle découvre des lettres d'amour, voici le contexte d'une d'elles:
" Quand je ferme les paupières, le soir, j’imagine que nous sommes encore ensemble. Allongés tous les deux dans l’herbe grasse. Un beau ciel bleu est accroché au-dessus de nos têtes. Le soleil chauffe notre peau. Tes doigts sont entrelacés aux miens. Nous rions comme des enfants.
Puis tu te tournes vers moi. Nous nous embrassons.
Et soudain, nous ne sommes plus des enfants."

"Je serai auprès de toi chaque nuit, souffle-t-il d’une voix si suave, si torturée, pour te garder bien au chaud. Je t’embrasserai jusqu’à ce que mes paupières se ferment."

"J'ai mille raisons de te désirer. non, c'est plus que ça : je ne te veux pour aucune raison en particulier, je te veux parce que tu es toi. Je veux m'enfoncer en toi le plus profondément possible et y rester des heures. des jours. des semaines. Je veux être avec toi le matin, à midi et le soir. Je veux tes larmes, tes sourires, tes baisers. Je veux l'odeur de tes cheveux, le goût de ta peau, ton haleine sur mon visage. Je veux te voir à la dernière heure de ma vie. Je veux rendre mon dernier soupir dans tes bras". 

“What would you prefer? Life in a maximum-security prison or trapped in Jurassic Park?"
"Do I have a social standing in this prison?"
"No. You're just an average Joe."
"Then I guess I have to go with Jurassic Park."
"Why?"
"Well, I'll have constant fresh air, for a start, and also if I'm going to be anyone's prey, I'm going to be the prey of an animal that's acting out of instinct rather than psychopathy... You?"
"If you're in Jurassic Park, I'm in Jurassic Park.”

Voilà.. j'ai plein d'autres citations qui me trottent dans la tête mais ça suffit pour le moment  c'est un super sujet, merci beaucoup

noooonn ???:

What are you doing?" she asked.

Grimacing, he considered returning his mouth to hers and kissing her until she forgot the question and his strange behavior, but he had to know the truth. Dammit, he had to know. "Amelia told me that her toes curl when Houston kisses her. I was just trying to see if your toes curl when I kiss you."

She turned a lovely shade of rose and rolled her shoulders toward her chin. "My whole body curls when you kiss me."

"Your whole body?"

She nodded quickly."Every inch."

ninou-lilou a écrit:Tout comme Elea, il m'est impossible de ne pas citer mes chouchous d'amour    J'ai donc choisi ces 3 extraits, parmi tant d'autres !

Série Lieutenant Eve Dallas de Nora Roberts !

 

T12: Au nom du crime
[Eve s'énerve après une machine qui lui a pris son argent mais refuse de lui donné sa barre chocolatée. Connors arrive à ce moment-là et avec lui ça marche   ]

— [...] On a encore razzié mon Auto Chef. Il me restait deux barres de vrai chocolat, on me les a piquées. Je finirai bien par attraper les coupables et je leur arracherai la peau. En prenant tout mon temps. Qu'est-ce que tu fabriques ici ?
— Je t'adore. De toute mon âme.
Ce fut plus fort que lui, il lui prit le visage et l'embrassa.
— Mon Dieu, comment ai-je pu vivre sans toi ?
— Arrête, marmonna Eve en scrutant le couloir de crainte qu'on ne les observe - si on les voyait, on se paierait sa tête pendant une semaine. Viens dans mon bureau.
— Avec plaisir.
Il la suivit, ferma la porte et enlaça Eve pour lui donner un long baiser passionné.
— Je suis de service, murmura-t-elle en se laissant aller contre lui.
— Je sais. Juste une minute...
Un jour peut-être il ne s'étonnerait plus de l'aimer si fort, d'avoir tellement besoin d'elle, de la désirer aussi follement. Mais pour l'instant il en était sidéré, ébloui.
Il l'embrassa encore, promena ses mains sur elle.
— Mmm... ça devrait me permettre de tenir quelques heures.
Elle poussa un long soupir tremblant.
— Dis donc... tu me fais plus de bien que du faux chocolat.
— Eve chérie, tu me flattes.

T31: Addiction au crime

Il prit son visage entre ses paumes, déposa un baiser sur son front. Puis il la regarda droit dans les yeux et s'exprima dans sa langue maternelle.
— Pardon ? fit-elle.
Il lui sourit.
— J'ai dit : « Tu es le battement de mon coeur, le souffle de mon corps, la lumière de mon âme. »
Profondément touchée, elle lui saisit les poignets.
— Même quand je t'énerve ?
— Surtout quand tu m'énerves.

T33: Crimes de New York à Dallas
[Eve fait un cauchemar et Connors essaie de la sortir de cet enfer. Ce passage (je ne l'ai pas mis en entier car trop long) m'a mis les larmes aux yeux. J'en ai d'ailleurs encore la gorge serrée d'y repenser...]

— Arrête ! Eve, arrête !
Connors était conscient de lui avoir fait mal, mais la douceur puis la fermeté n’avaient pas suffi à l’extraire de son cauchemar. Paniqué, il craignit un instant qu’elle n’en réchappe jamais.
— Eve. Mon Eve adorée. Pour l’amour du ciel, réveille-toi !
Il lui immobilisa les bras, la maintint alors qu’elle s’arcboutait en hurlant.
— Non. Non, reviens-moi, Eve. Eve, répéta-t-il dans l’espoir de l’atteindre. Je t’aime, Eve. Je suis là. Tu es en sécurité. Lieutenant Eve Dallas, murmura-t-il en pres­sant les lèvres sur ses cheveux, sa tempe. Mon amour. A ghra. Eve.

- Je me souviendrai de ton parfum, de ton contact et de la sensation que ça me procurait de t'aimer. Mais par-dessus tout, je me rappellerai ce que ça fait d'avoir une véritable beauté sous les yeux. Car tu es belle, ma bien aimée, aussi bien d'âme que de corps. Généreuse d'esprit et de cœur. Et jamais plus je ne reverrai de mon vivant plus beau que toi.
Il l'étreignit, l'embrassant sans relâche, tentant de lui faire comprendre avec ses lèvres à quel point il l'aimait. Il toucha les diamants à ses oreilles et approcha sa bouche.
- Après t'avoir vu nue, je te demanderai de ne plus porter en ma présence que ces boucles d'oreilles. Tout le reste est superflu.

“It hit him in that moment in a way he knew he’d never forget that he could take that hand and she could lead him anywhere. Just tip up her lips, turn those eyes to him and hold out her hand and he’d go straight to hell with her and do it smiling.”

VF:
Ça le frappa à ce moment d'une manière qu'il savait qu'il n'oublierait jamais qu'il pouvait prendre sa main, et elle pouvait le guider n'importe où. Juste en faisant une petite moue des lèvres, en tournant ses yeux vers lui et en tenant sa main, et il pourrait aller droit en enfer avec elle, et il ferait en souriant.

“Why a compass?” Ty asked. He hadn’t taken his eyes off Zane’s yet.
Zane smiled and ran his thumb across the pendant. “Because you gave me direction when I was lost. You showed me the way.” He looked up to meet Ty’s eyes. “You’re like my very own compass.

VF:
"Pourquoi une boussole?" demanda Ty. Il n'avait pas quitté Zane des yeux. Zane sourit et fit courir son pouce sur le pendentif. "Parce que tu m'as aidé à me retrouver quand j'étais perdu. Tu m'as montré le chemin." Il leva son regard pour regarder Ty dans les yeux. "Tu es ma boussole personnelle".

“You told me one time that . . . I was your compass. I gave you direction when you were lost,” Ty said, nearly choking on the words. He glanced up, eyes reflecting like liquid in the low light. “Well, you were my anchor. You were something solid for me to hold onto. I wanted you to remember that.”

VF:
Tu m'as dit une fois que... j'étais ta boussole. Je t'ai aidé à te retrouver quand tu étais perdu.", dit Ty, s'étranglant presque en disant ces mots. Il leva son regard, ses yeux brillant malgré la pénombre. "Et bien, tu as été mon ancre. Tu as été quelque chose de solide auquel je pouvais m'accrocher. Je voulais que tu t'en souviennes."

   

Je te veux, Dutch. Corps et âme. Je te veux dans mon lit toutes les nuits. Je veux t'y trouver quand je me réveille le matin. Je veux voir tes vêtements éparpillés dans mon appartement et ton odeur sur ma peau.

—    Anna, dit-il en la faisant asseoir, je tiendrai parole. Je ne romprai pas avec Muriel, car l’erreur est mienne et j’en supporterai donc les conséquences. Mais, si vous éprouvez les mêmes sentiments que moi, je vous demande de me le dire juste une fois... Dites-moi que si la situation avait été autre... Anna, pouvez-vous me dire... que vous m'aimez ?

Comme elle se taisait, il sentit son cœur se serrer atrocement. Puis elle se tourna et, lui tendant ses deux mains, elle déclara calmement :

—    Je n’ai pas le droit de vous le dire, car vous appartenez à une autre. Mais je vous le dirai quand même... Seulement je le ferai dans ma propre langue afin que vous ne le compreniez pas. Ou, au contraire, que vous puissiez mieux e comprendre. Alors écoutez, mylienki, écoutez bien...

Et Anna se mit à parler. 

mabi a écrit:
Déjà que les 5 premiers tomes sont terriblement addictifs, mais là, Ninou, tu me tue!!!!!

“You have a boyfriend when you’re sixteen. You fuck a man casually, you don’t have anything except, if he’s good, a supply of orgasms. You got what we’re building, you got everything. But bottom line, I’ve claimed you. This means you’re my woman which in turn means I’m your man.”
Whoosh. There it went again, my breath.
- “You’re my man?” I forced out.

Life’s a roller coaster. Best damn ride in the park. You don’t close your eyes, hold on and wait for it to be over, babe. You keep your eyes open, lift your hands straight up in the air and enjoy the ride for as long as it lasts.

- That movie you made me watch, first time at your house. Love and re­demp­tion. You said, "the most beau­ti­ful sto­ries ever told are the most dif­fi­cult to take". You said that, Red. Right out. And I knew if you got that, when it was later and I shared my shit with you, you’d get me. (...) I fig­ure I’d find my way to beauty even­tu­ally. And I’d find ab­so­lu­tion be­cause I’d know, I earned the love of that woman, a woman who’s got so much to her it’ll take years to dig down and find the heart of her, that would be my re­ward.”
Ohmigod.
Ohmigod!
Ohmigod!
Did he just say that?
Did. He. Just. Say that?
(...)
“So I was hooked to that sh*t, I did it, I par­tic­i­pated in it, I was loyal to my broth­ers as I’d vowed I’d be and I pulled me and my Club out of it. I did that but that didn’t erase what we did. You are my ab­so­lu­tion.

You're mine, the girls are mine. I'm stakin' my claim with you right now. (...) You're mine. (...) I'm yours. (...) You're under my skin. (...) I'm under yours.

- I knew you were the one when you were standin' in my living-room, wearing those stupid ass-boots, your nightie and that ratty robe.
- That was the first night we met.
- Yep.
I was the one for Joe and he knew it the first night we met. He knew I was the one. The one. The one. And it was the first night we met.
- "Joe" I whispered.
His mouth came to mine again as his hands lifted my legs to wraps them around his hips and he whispered back, "I love you baby". I felt my breath hitch and the tears slid out the sides of my eyes but he wasn't done. "And I'm not fu**in' move out".

marissa a écrit:Vous voulez causer ma mort, hein, c'est ça hein?! Zaz t'es citations sont SUBLIMES!!!   Il faudrait que je découvre cette auteure, est-ce que le niveau d'anglais est compliqué?