Teaser Tuesday #39

**Zazazoo** Mar 4 Juin 2013 - 8:04

C'est mardi et le rendez-vous hebdomadaire du Teaser Tuesday ! Donnez-nous envie, les filles ! Wink

Teaser Tuesday est un concept américain, lancé à l’origine par Should be Reading, et suivi chaque semaine par des milliers de blogueurs à travers le monde.

Nous avons donc ainsi décidé de nous prêter au jeu et de les rejoindre !

Le principe est simple : chaque mardi, attrapez votre lecture en cours (ou celle que vous venez juste de terminer si vous n’en êtes qu’au tout début) et partagez avec nous une ou deux citations de cet ouvrage.

Le but est de nous faire vivre vos plus beaux moments de lecture & de « teaser » vos copinautes (en bref, leur donner envie de lire, rien qu’avec ces deux citations).

Comment participer ?

Chaque semaine, un nouveau sujet sera ouvert et vous permettra de poster les noms de l’œuvre et de l’auteur, la couverture (si possible) en format moyen, puis vos citations.

Une seule petite règle à respecter (et ce pour des raisons évidentes), nous vous demandons de ne pas mettre de spoilers ! Évitez ainsi les : « Je suis ton père, Luc » ou encore « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ».

Attention, le sujet sera verrouillé à minuit.

Bon mardi, et à vos plumes ! Wink

PS : Je rappelle qu'une citation n'est pas un extrait d'une demi-page !

Elea Mar 4 Juin 2013 - 9:38

Teaser Tuesday #39 CVT_Maeve-Regan-Tome-3--La-dent-longue_9644

"Lalawethika était un jeune vampire né peu avant que le Docteur Quinn, femme médecin, n'entreprenne ses études, et pas très loin de Colorado Springs. Nuage Dansant aurait pu être son fils."

Moi qui regardais cette série quand j'étais petite, ce passage m'a bien fait rire ! Teaser Tuesday #39 295776373

**Zazazoo** Mar 4 Juin 2013 - 12:40

Le highlander qui ne voulait plus aimer
Les McCabe #3, de Maya Banks

En avant-première, je vous propose une petite prise de bec entre Caelen et Rionna qui m’a bien fait rire. Tous deux sont en plein entraînement, les épées sifflent et les coups pleuvent...

Rionna se courba en deux en fonça sur lui sans réfléchir. Son épaule, comme par un fait exprès, vint percuter son entrejambe.
Le soufflé coupé, Caelen proféra un chapelet de jurons qui écorchèrent les oreilles de Rionna, puis s’effondra à genoux sur le sol, les mains agrippées à ses parties intimes.
Sans perdre une seconde, elle recula d’un pas afin de récupérer son épée et en pointa l’extrémité sur son cou.

- Vous vous rendez ? demanda-t-elle ?
- Bon sang, oui ! Je me rends, ou vous allez sans doute trancher ce qui reste de mes bou**es ... (...)

Gannon s’avança vers eux, secoué par un rire irrépressible. Caelen lui lança un regard noir et grogna :
- Ferme-la, tu veux ?

Un dernier éclat de rire échappa à Gannon, puis il assena une grande claque dans le dos de Rionna, manquant de peu de la déséquilibrer.

- Et voilà comment on fait choir un guerrier, milady !
- C’est toi qui lui a dit de viser mes parties ? s’enquit Caelen, méfiant.
- Sûrement pas ! Je me suis contenté de lui conseiller de passer à l’offensive. On peut dire qu’elle a réussi !
- Bon sang, femme ! s’exclama Caelen en se relevant difficilement. J’étais assez fier de cette partie de mon anatomie !

Rionna lui sourit d’un air mutin. Se hissant sur la pointe des pieds, elle lui murmura à l’oreille, pour que Gannon n’entende pas :

- Moi aussi. J’espère qu’il n’y a pas de dommages irréparables ...
- Irrespectueuse polissonne ! gronda Caelen. Tout ceci se paiera plus tard.

Juliska Mar 4 Juin 2013 - 13:08

ah oui mémorable cette scène Teaser Tuesday #39 295776373

Je vous propose ce petit pas parce que c'est drôle mais je trouvais que c'était si joliment dit et que c'était romantique bulle

:

Ils sortirent du salon et se dirigèrent vers la cour intérieure. Les fontaines produisaient leur douce musique et l’air était chargé d’effluves de jasmin.
— Regardez là-haut, dit-il.
C’était la nuit. Le ciel, bleu saphir, s’étendait au loin, au-dessus de leur tête.
— Dans ma culture, reprit-il, nous pensons que l’amour a des ailes. Des ailes qui peuvent vous emmener jusqu’aux étoiles où les plaisirs charnels sont vénérés comme des dieux. C’est un voyage voluptueux. Un voyage qui laisse à tout jamais des marques sur une femme. On le voit à ses yeux, à sa façon de marcher, à la façon dont elle apprend à nourrir son corps et à s’en délecter parce qu’elle a appris que c’est un temple de délices. Quand je vous regarde, ce que je vois, c’est une femme qui n’a pas encore appris à voler. Je vous regarde et je voudrais vous aider à vous élever dans les nuages pour que vous sachiez ce que cela fait.

(soupir) bulle

ParanormalBliss Mar 4 Juin 2013 - 14:35

J'adore vos extraits Juliska et Zazazoo Okay

En voici un que j'ai lu hier soir:

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Dans cette scène, Cameron a pris une chambre dans un hôtel huppé. Malheureusement pour elle, ses voisins de la chambre d'à côté sont très... actifs ce qui l'empêche de fermer l'oeil.

Les braillements de la femme transperçaient l'oreiller. Cameron ferma les yeux et pria en silence : "Cher M. gros vilain, peu importe votre position, je ne veux pas savoir, mais n'en changez pas avant d'avoir conclu l'affaire." Elle n'avait pas désiré si fort un orgasme depuis la fois - seule et unique- où elle avait couché avec Jim, le représentant de commerce en vin (et soi-disant artiste) qui cherchait encore sa voie, mais n'avait dédidément pas trouvé celle qui menait aux zones érogènes féminines.

ninou-lilou Mar 4 Juin 2013 - 16:40

Confession exclusive de Sandra Brown

[Barrie et Gray sont dans une situation très inconfortable. Ils ont dû se cacher en toute hâte dans un renfoncé de caravane afin de ne pas être surpris par le propriétaire et sa maîtresse. Ils se retrouvent donc serrés l'un contre l'autre (Barrie à moitié nue) à essayer de faire abstraction des bruits plus que subjectifs des 2 personnes qui font l'amour furieusement sur le sol. Sans aucune volonté de résister, ils se retrouvent à s'embrasser...]

Une plainte gutturale, plus une vibration qu'un véritable son, monta de sa gorge. Barrie se raidit. Lui aussi. Il pressa sa joue contre la sienne en s'efforçant de respirer en silence, bien que ce fût pour ainsi dire impossible tant son coeur battait fort. Mais ils ne risquaient pas d'être entendus, car le couple en bas s'était lancé dans une série de prémisses verbales aussi salaces que sottes, ponctuées d'éclats de rire stridents. Ce dont Gray se souciait au demeurant comme d'une guigne.
Toute son attention était concentrée sur le baiser, fougueux, impudique, qu'il était en train d'échanger avec Barrie. Il ne savait plus combien de fois il l'avait embrassée, combien de fois sa langue avait exploré sa bouche. Il ne perdit jamais le contact avec ses lèvres, pas même lorsqu'il leur fallait marquer une pause pour reprendre leur souffle de peur de suffoquer. Même dans ces instants-là, elle relevait imperceptiblement la tête et flirtait avec sa lèvre inférieure du bout de la langue. Il la laissa faire, jouer, le taquiner, l'exciter jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus. Puis il recommença à l'embrasser avec passion, la serra encore plus fort contre lui en s'arcboutant contre ses cuisses. Et resta là. Longtemps. À lui faire l'amour. Mentalement. Le paradis et l'enfer en même temps.

**Penny** Mar 4 Juin 2013 - 18:15

Extrait de Losing It de Cora Carmack, que je viens juste de terminer. Le style humoristique du livre apporte un côté irrésistible...

Un exemple:
Garrick et Bliss sont chez cette dernière après s'être rencontrés quelques heures plus tôt dans un club, et Bliss a prévu de ne plus vivre de nouveau lever de soleil vierge. Mais la théorie est ebaucoup plus facile que la mise en pratique, et lorsque son cerveau et son angoisse ressurgissent, ses pensées deviennent hilarantes!

Traduction faite par mes soins

Sexe.
J'allais avoir une relation sexuelle.
Avec un garçon.
Un garçon sexy.
Un garçon sexy ANGLAIS.
Ou peut-être allais-je vomir.
Et si je me mettais à vomir sur l'anglais sexy?
Et si je me mettais à vomir sur l'anglais sexy PENDANT LE SEXE?

Un autre exemple:
Après avoir inventé une excuse hallucinante à Garrick pour arrêter leurs ébats, Bliss court vers le seul endroit qui lui paraît être sûr: dehors! Et fait l'état des lieux du moment dont elle prend conscience:

1. Je ne portais pas de chaussures
(A. Ni de chemise.)
2. Je n'avais pas pris mes clefs.
(A. Ni quoi que ce soit.)
3. Javais laissé un illustre inconnu seul chez moi.
(A. Nu.)
Quiconque disait que les coups d'un soir étaient simples, sans aucune arrière-pensée n'avait à l'évidence pas rencontré le désastre ambulant que j'étais.

Quatre. Le nombre de personnes qui m'avaient vue au coin de mon appartement en jupe et soutien-gorge.
Onze. Le nombre de morsures de fourmis sur mes pieds nus.
Vingt-sept. Le nombre de fois où j'ai tenté de blesser intentionnellement parce que j'étais une IDIOTE.
Une. Le nombre de fois où j'ai tenté de ne pas pleurer, en vain.

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