Teaser Tuesday #35

Un petit extrait de Cinquante Nuances de Grey qui me correspond totalement

Jack Norton est un ghostwalker. Au cour d'une mission pour libérer son frère jumeau,Ken, il rencontre Briony, qui est aussi une ghostwalker. Après une brève liaison, ils se séparent, mais pourchassée par les hommes de Whitney qui veulent s'emparer d'elle et de ses dons, Briony se réfugient dans le chalet isolé des jumeaux. Jack, conscient que son frère a plus de charme et de bagou que lui, a peur qu'il séduise la jeune femme.

— La prochaine fois que tu t'approches d'elle comme ça, préviens moi. ( Jack )
—Tu ferais mieux de t'y habituer. Si elle reste ici, je la considérerai comme ma soeur (...)
— Tu cherches juste à m'énerver, répliqua Jack.
—Il y a un peu de ça aussi. D'un autre côté, avec ta dulcinée dans la maison, nous allons très rapidement découvrir si tu deviens ou non un con insupportable. Si tu dépasses les bornes, je te provoque en duel derrière l'écurie.
—On n'apas d'écurie.
— Merde, je t'avais bien dit qu'on avait besoin d'une écurie, répliqua Ken.

— Ce soir, je vous montrerai toutes les richesses que peut receler l'amour d'un homme. Je vous ferai oublier Londres et les imbéciles de prétendants qui se sont détournés de vous. Je m'évertuerai à rendre cette nuit éternelle. Dans les années à venir, quand vous serez seule dans votre lit, vous vous rappellerez comment vous vous êtes sentie dans mes bras quand je vous embrassais, vous caressais, vous faisais mienne.

Pour moi il s'agit du début de Le Guerrier ... C'est certes un très court passage mais je trouve qu'il est tellement touchant que toute femme mérite de l'entendre un jour...

Cependant, si les autres guerriers n'avaient d'yeux que pour sa beauté, Duncan voyait en elle la femme de sa vie.

ninou-lilou a écrit:

Plus fort que le destin
de Pamela Clare

— Ce soir, je vous montrerai toutes les richesses que peut receler l'amour d'un homme. Je vous ferai oublier Londres et les imbéciles de prétendants qui se sont détournés de vous. Je m'évertuerai à rendre cette nuit éternelle. Dans les années à venir, quand vous serez seule dans votre lit, vous vous rappellerez comment vous vous êtes sentie dans mes bras quand je vous embrassais, vous caressais, vous faisais mienne.

oh! très romantique, mon petit coeur bat la chamade à lire ça

Ninou-lilou et Milju, vos citations sont juste magnifiques

Merci Ymoan! Et toi tu nous ponds quoi?

Milju a écrit:Merci Ymoan! Et toi tu nous ponds quoi?

Malheureusement, à l'approche des examens je n'ai plus trop le temps de lire (sauf le week-end)

Elle (Linnet) lui jeta une serviette qu'il réussit à attraper et à nouer hâtivement autour de sa taille.
- Vous savez quoi? continua-t-elle en le regardant, légèrement rougissante.
- Quoi? demanda-t-il tout en se réajustant discrètement avant de resserrer davantage la serviette.
- Vous allez rire, surtout que vous êtes médecin, mais ma mère a parlé de quelque chose...
- De quoi?
Il avait toujours contrôlé parfaitement son corps. Toujours! Cette désobéissance était une aberration.
- Ma mère a fait allusion à ce qui pendait chez les hommes.
- Pendait?
S'il s'obligeait à ne regarder que son visage, il ne verrait pas ses seins et ses hanches que moulait la fine étoffe, il dominerait le désir brutal qui lui enflammait les reins. Ce n'était qu'un besoin physiologique, rien de plus.
- Oui, pendait, confirma-t-elle avec un gloussement. Entre les jambes. Ce n'est pas le cas, n'est-ce pas? dit-elle en désignant d'un geste vague la zone entre ses hanches. Ça ne vous ennuie pas que je vous dise cela? Je m'étais fait une image dégoûtante de quelque chose qui... Eh bien, ça ne pend pas du tout. Ça se tient droit.
Piers éclata de rire.
- Je sais, dit-elle en riant à son tour, je suis une sotte.
Vraiment? Piers eut le sentiment embarrassant que c'était lui, le sot.

J'ai bien rigolée en lisant ce passage