Ahélya fille des Indes de Delly

Résumé :
Fidèle à une parole donnée, Alwyn Clenmare est parti pour les Indes à la recherche d’Ahélya, une jeune cousine qui a disparu étrangement. Ahélya, dont la mère était Hindoue, a été enlevée par le puissant Brahme Marinda et ceux de sa secte. Ils la garde captive. Ne doit-elle pas consacrer sa vie au culte de Siva, puisqu’elle a refusé d’épouser le rajah Prithwidji, bafouant ainsi la tradition ? Arrachée par Alwyn aux griffes de ses ravisseurs, Ahélya s’installe avec lui en Angleterre, à Loreyl-Castel, dans le vieux château de leurs ancêtres. Un profond sentiment s’enracine dans leurs cœurs. Mais deux ennemies intriguent dans l’ombre contre la trop belle Ahélya : Aurora Clenmare, qui convoite sa fortune et Viviane de Coëtbray, passionnément éprise d’Alwyn. «Je ne renoncerai jamais à lui ! a-t-elle déclaré.» La haine et la jalousie triompheront-elles de l’ardent et pur amour d’Ahélya? Il est bien menacé ! Marinda débarque non loin du château…  

Mon avis :
J’ai lu ce livre car le tome précédent m’avait laissée sur ma faim. La présentation résume plus le premier tome qu’elle n’introduit le second. Elle, la petite cousine, jeune femme-enfant, pas tant par le caractère que par l’âge, a été sauvée par le héro dans le tome 1., le héro, le jeune médecin du volume précédent (Lefeu sous la glace) a pris possession de l’héritage laissé par son grand-père, au grand damne de son oncle qui aurait bien voulu rafler le pactole. Les autres femmes, une volière de snobes gallinacées caquetantes et médisantes, plus occupées d’intrigues et de mode que d’humanisme et d’amitiés.
L’histoire est lente. Elle a perdu le souffle épique de la fin de l’opus précédent. Le récit ne prend de la vitesse que dans le dernier chapitre.  Le livre est typique des romans sentimentaux du début du XXème siècle. Il ne se passe rien ou presque. Quant à la romance… où se cache-t-elle?

Ma note : /5