Un séducteur diabolique - Rosemary Rogers

Résumé :

Lord Deverell ! Amie l'attendait, tout en redoutant sa présence. Depuis son arrivée en Angleterre, le petit-fils de lady Winford n'a cessé de lui manifester son hostilité. Hautain et méprisant, Deverell n'a perdu aucune occasion de lui rappeler qu'elle n'était qu'une sauvageonne des colonies, recueillie par charité. A coup sûr, il sera irrité par la magnificence du bal que lady Winford a organisé pour les vingt et un ans de sa protégée!
Désemparée, Amie se réfugie sur la terrasse, espérant ainsi échapper à son persécuteur.
Piètre manœuvre ! Deverell l'a suivie.
- Je crains, ma chère, que vous ne soyez obligée d'ouvrir le bal avec moi, dit-il en s'inclinant devant la jeune femme. Vous ne voudriez pas faire une entorse au protocole, n'est-ce pas ?
Et comme elle recule, il lance d'un ton ironique :
- De quoi avez-vous peur ? Il ne s'agit que d'une danse...

J'ai beaucoup entendu parler des romans de Rosemary Rogers et en même temps, si on parle d'elle sous cape, peu d'avis sont laissés sur ses écrits.

Réputée pour créer entre les personnages des relations houleuses, conflictuelles, vibrantes de sentiments passionnés et violents, elle ne fait pas l'unanimité... du moins à voix haute. Bien sûr, le fait qu'on trouve malheureux sa fâcheuse tendance à mettre de l'érotisme, là où d'autres voient de la violence, a piqué ma curiosité.

J'ai dans ma pal "le désir et la haine" que je regarde sans oser le lire par peur d'être déçue... Alors j'ai commencé par lire un de ses romans sans prétention (celui-ci) afin de tâter le terrain. Eh bien je ne l'ai pas trouvé désagréable. Les déceptions, les rapports charnels avec une nuance de viol... ation du corps de l'autre, les passages qui ne parlent pas d'amour mais de l'histoire des hommes font passer la pilule d'une écriture parfois un peu hachée et d'un récit qui aurait pu être plus développé.
Je trouve qu'il manque à ce roman quelques dizaines de pages qui auraient pu mettre davantage les personnages en scène et lui offrir une fin un peu moins bâclée. J'ai trouvé que cette dernière tombait comme une cuillère de miel poisseux, au milieu de tous ces sentiments fougueux et rendait soudainement nos deux protagonistes sans saveur.

Mais je ne boude pas le plaisir que j'ai eu de retrouver des moments de lecture simples et piquants. Ce ne sera pas mon roman de l'année, mais il m'aura donné envie de lire d'autres livres de Mme Rogers.

Parce qu'il m'a fait piquer quelques fards, je lui mets . 75 / 5...

Tes avis me manquaient CAS...merci!

L'arrivée d'une pupille de dix sept ans qui vient d'arriver d'Amérique déplaît fortement à Lord Deverell  et dès le départ il fait part à Amie de son hostilité en la traitant de voleuse et de pique assiette...
Malgré tout,  Amie est  subjuguée par Deverell, sa prestance, son côté hargneux et sombre font rêver la jeune fille.
Trois ans plus tard Deverell retrouve Amy : il est toujours hostile à la jeune fille et peu courtois  mais  il la désire......
Puis une suite d'aventures trop peu développées vont rendre le récit peu crédible, et la fin est si vite achevée (voire bâclée) que j'en suis restée perplexe (Oui! oui ! pourtant çà devenait interressant  .....
Ne parlons pas des sentiments?  avec Rosemary c'est de l'option ....

Alors que s'est il passé ? le livre ne fait que 320 pages , la VF a t'elle était écourtée ?
la traduction est elle complète ?  
Alors moi qui  ne suis pas une fan de Rosemary Rogers  beaucoup trop dure avec ses héroïnes, (pas de viol en cascade etc...cette fois ci pourtant Amie est séquestrée par deux fois par des pirates)  OUF!!!!! je m'interroge

Si vous avez une réponse ?
Et y a t'il une suite avec le frère d'Amie Christopher Courtland

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