La rançon du désir de Merline Lovelace

Présentation de l'éditeur

Angleterre, 1188.
Lady Madeline de Courcey ne peut croire à son malheur : pupille du roi quelques heures plus tôt, voilà qu’elle se retrouve assujettie au comte Ian de Canmore, qui ne fait pas mystère du mépris qu’elle lui inspire. Ian, qui n’hésite pas à l’humilier par ses insinuations, l’accusant à demi-mots de jouer de ses charmes pour servir ses intérêts. Furieuse, et désespérée à l’idée de dépendre de cet homme aussi troublant qu’arrogant, Madeline refuse de se soumettre. Si le comte la croit capable de manipuler les hommes, elle compte bien lui prouver qu’il ne fait pas exception à la règle !

Je suis tombée dessus par hasard et j'avoue que je n'ai pas été déçue.
Les deux héros sont sexy à souhait et je ne me suis pas ennuyée une minute car il y a pas mal de répliques mordantes entre-eux, cela occasionne des situations volcaniques et du coup, ce roman se laisse lire d'une traite.

A conseiller

Un vieil historique Harlequin bien sympathique!
Ian, jeune comte de Canmore, est un mâle dominant sûr de son bon droit.
Madeline de Courcey, accessoirement pupille du roi Henri Plantagenet, est une jeune deux fois veuve au caractère bien affirmé. Si elle sait jouer de la prunelle et du sourire, elle est restée bien naïve dans les choses de l'amour. Il faut dire qu'elle fut mariée à un vieux barbon puis à un jeune adolescent très mauvais au déduit.
Face à cette montagne de testostérone, elle n'a aucune chance. Même si elle résiste tant qu'elle peu, ce ne sera pas longtemps. Avec lui elle découvre ce qu'est vraiment le plaisir. Le cœur suivant la passion, c'est folle amoureuse de lui qu'elle devient la mère de son enfant après l'avoir épousé.
Entre intrigues de palais, elles étaient fréquente à l'époque (je ne prononcerai pas pour aujourd'hui), et jeux de l'amour, Madame Lovelace nous sert un met délectable et bien pétillant. C'est que nos héros n'ont pas la langue dans leurs poches et qu'elle sont aussi acérées que des dagues. Cela nous donne des échanges vifs et drôles.
  , 5/5