La dernière valse de Mary Balogh

Gerard Percy, est revenu depuis un an en Angleterre après 10 ans passés au Canada où il a fait fortune dans le commerce de fourrure car il a hérité d'un titre de comte qu'il n'attendais pas. 
Après un an à Londres il se décide de retourner à Thornwood ou il a passé une enfance peu heureuse, orphelin élevé par son oncle et harcelé pas ses cousins. Mais ce qu'il redoute le plus c'est de revoir Christina la veuve de son Cousin qui dix ans plus tôt a fait le choix de la fortune et du titre plutôt que celui de l'amour. 
Son retour a pour but d'organiser une grande réception de Noël au cours de laquelle il a convié des jeunes filles qui pourraient devenir sa comtesse. 

Même pour une romance ne Noël, Mary Balogh n'abandonne pas le drame et s'il y a dans cette histoire tout un tas de moments légers qui fleurent bon Noël, le fond de l'histoire n'est pas sans une certaine gravité. 
Car Gerard et Christina se voue une haine mutuelle assez tenace. 
Ce que j'apprécie chez cette autrice c'est que lorsqu'elle créé des personnages qui ont de l'animosité, on ressent bien celle-ci. Elle ne s'évapore pas au moindre regard ou effleurement. Les sens ont peu d'emprise sur elles et se sont les actes, les dialogues entre les personnages qui vont réussir à lentement rompre la glace entre eux. 

Une jolie lecture de Noël avec tout pleins de moments très Noël Idéal. 
3.75/5

Merci pour ton avis il me tente bien, mais nom de Zeus je déteste ces couvertures... on dirait un livre pour pré-ado.

J'ai fini par me laisser tenter malgré la couverture que je trouve vraiment moche... 

C'est un flop total pour moi, je me suis ennuyée tout au long du livre. Je suis allée au bout pour voir s'il allait enfin se passer quelque chose et à part une fin complètement capillotractée, rien. 

Je n'ai pas aimé les personnages, le héros et l'héroïne m'ont insupportée d'une égale manière,  l'idée de départ est intéressante mais l'intrigue tient sur un timbre poste. Le retour du cousin qui a réussi et jette sa réussite au visage de celle qui l'a dédaigné. 

Et je trouve encore plus que la couverture ne va pas avec l'histoire car nous sommes très loin d'un roman de Noël gai et enlevé comme le suggère l'illustration. 

C'est ce qu'on appelle un roman rasoir... je ressors une expression moche de mon tiroir pour l'occasion !

 /5

@Livie, désolée 

Misty a écrit:@Livie, désolée 

oh, ce n'est pas bien grave  les goûts et les couleurs   .