Le Club des Connards de Claire Berthomy
Page 1 sur 1
Le Club des Connards de Claire Berthomy
Le Club des Connards
Claire Berthomy
Résumé :
Samantha mène une double vie : médiatrice dans une galerie d'art contemporain le jour et dessinatrice de BD érotiques le soir. Si elle connaît le succès sous son pseudo, Swan, sa vie quotidienne est bien moins reluisante.
Son principal loisir ? Suivre les aventures de son père et de ses acolytes, un groupe de séducteurs invétérés, que ses deux meilleurs amis et elle ont surnommé "Le Club des Connards". Alors qu'elle gravite dans cet univers peuplé de bimbos et de testostérone depuis son plus jeune âge, la jeune femme peut se rassurer sur un point : les connards, ce n'est pas du tout son truc. Elle finira avec un gentil garçon, c'est certain.
Du moins, c'est ce qu'elle croyait... Jusqu'au jour où l'organisation d'une exposition sur le tatouage la pousse à collaborer avec un membre du club et tatoueur de renom : Elliott Archer.
Pourquoi son corps réagit-il si fort à sa présence ?
Pourquoi, lui, semble-t-il la détester ?
Son principal loisir ? Suivre les aventures de son père et de ses acolytes, un groupe de séducteurs invétérés, que ses deux meilleurs amis et elle ont surnommé "Le Club des Connards". Alors qu'elle gravite dans cet univers peuplé de bimbos et de testostérone depuis son plus jeune âge, la jeune femme peut se rassurer sur un point : les connards, ce n'est pas du tout son truc. Elle finira avec un gentil garçon, c'est certain.
Du moins, c'est ce qu'elle croyait... Jusqu'au jour où l'organisation d'une exposition sur le tatouage la pousse à collaborer avec un membre du club et tatoueur de renom : Elliott Archer.
Pourquoi son corps réagit-il si fort à sa présence ?
Pourquoi, lui, semble-t-il la détester ?
Sortie en autoédition le 3 juillet 2020
Re: Le Club des Connards de Claire Berthomy
Le Club des Connards est d’une addiction étourdissante.
L’entrée en matière est sympathique, déride les lèvres, met en confiance… pour mieux vous tromper ensuite. Vous croyez lire une new romance tranquille qui ne vous demandera pas trop d’efforts émotionnels…
Erreur.
Cette histoire est tout sauf classique. Elle imprime profondément sa marque sur votre cœur qui n’en ressortira pas sans quelques séquelles.
L’on devine doucement les personnages, le décor, le contexte, des amitiés enviables.
Les dialogues sont drôles, entraînants, nous invitant à nous immiscer gentiment dans l’affection fraternelle que partagent les vrais amis. Les pensées de Sam font sourire, rire et l’on s’attache rapidement à tout ce petit monde – oui, même connard en chef !
Et puis…
La décente aux enfers commence... lentement, graduellement...
Une lecture dévorante.
Ce livre prend aux tripes, il remue, il n’épargne pas. L’on n’en ressort pas indemne. Je dois bien avouer l’avoir lu l’angoisse au ventre les trois quarts du temps et avoir laissé échapper quelques larmes.
L’immersion est prégnante. Dès les premières lignes, vous ne pouvez plus reculer, il est déjà trop tard.
L’on découvre l’univers du tatouage d’une manière très artistique, un brin romantique même. L’art a une part importante dans ce livre, lui conférant douceur, contemplation, permettant de contrebalancer le stress de certains évènements, d’équilibrer les émotions.
J’ai apprécié Elliott. Il est mystérieux. Peu de choses nous sont dévoilées sur son compte, il en devient intrigant, attirant. Le désir de l’approcher, de connaître ses secrets, s’accroît progressivement au fil de la trame.
J’ai énormément aimé Sam. Elle est torturée, pour ne pas dire brisée, mais elle continue de lutter pour garder la tête hors de l’eau. Il le faut, c’est ainsi. Comment faire autrement ? C’est loin d’être facile, parfois insurmontable. Cette décente aux enfers est oppressante, elle vous tient en haleine, elle vous guide vers des émotions contradictoires. L’on ne veut pas quitter l’histoire et en même temps l’on ne désire plus qu’une chose : que la tempête s’achève, que l’accalmie revienne et que l’appréhension – à vous ronger les sangs – laisse la place à l’espoir, l’amour, le bonheur…
Malgré tout, la fin arrive trop vite, surtout lorsque, comme moi, vous n’avez plus réussi à lâcher le livre.
Le Club des Connards m’a profondément touché pour bien des raisons. J’y ai retrouvé quelques échos de mes propres pensées, émotions, circonstances… Il est poignant. Un vrai coup de cœur.
L’auteure peut être fière d’elle. Elle a écrit une petite perle.
Sujets similaires
» Hell's Lovers - Tome 1 : Jusqu'en enfer de Claire Berthomy
» Donovan roi des connards de Lena K Summers
» Le Murder Club du jeudi - Tome 1 : Le Murder Club du jeudi de Richard Osman
» The Player de Claire Contreras
» Once upon a Kiss de Claire Delacroix
» Donovan roi des connards de Lena K Summers
» Le Murder Club du jeudi - Tome 1 : Le Murder Club du jeudi de Richard Osman
» The Player de Claire Contreras
» Once upon a Kiss de Claire Delacroix
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum