American Love Songs de Ashlyn Kane

Jake Brenner trouve qu’il y a bien trop d’hommes à séduire pour tomber amoureux – ou c’est en tout cas ce qu’il prétend. En plus, il est bien trop occupé avec son groupe, les Wayward Sons, pour laisser une place à la romance. Sa réticence n’a rien à voir avec le béguin gênant qu’il a pour Chris, chanteur du groupe et jadis son meilleur ami. Mais tout ça, c’est avant que le vagabond et énigmatique Parker McAvoy, soit engagé comme nouveau guitariste.

Il peut cacher son attirance envers le timide et adorable Parker un moment, mais le désir de faire quelque chose à ce sujet devient impossible à ignorer. Le problème, c’est que Parker sait tout de l’inconstance sentimentale de Jake… et, ah oui, il n’est pas gay. En tout cas, c’est ce que Jake pense, jusqu’à ce qu’un enchaînement d’événements étranges le fasse peut-être changer d’avis. Peut-il convaincre Parker d’oublier son passé difficile et de lui donner une chance, ou cette chanson d’amour va-t-elle se terminer avant même d’avoir commencé ?

Huuumm comment dire ? Je misais assez sur cette romance pensant que j'allais vraiment adorer mais au final je n'ai pas vraiment été transportée.
Nous suivons ici un groupe de rock composé de trois amis et d'un nouveau venu. Tous ces rockeurs en herbe sont âgés d'une vingtaine d'années. Le lecteur les suit de leurs débuts à la gloire et assiste au rapprochement entre deux de ses membres, Jake et Parker McAvoy, la nouvelle recrue.
Les quatre membres des Wayward Sons sont de gentils rockeurs, certes ils picolent un peu beaucoup, ne fument pas que des cigarettes et aiment le sexe, mais ne vous imaginez pas de vilains bad boys !
La romance est vraiment douce et surtout elle prend (vraiment) tout son temps car Jake est un peu long à la comprenette,  les deux nigauds ont bien du mal à ouvrir les vannes et laisser parler leurs petits coeurs    Ils  sont assez exaspérants mais finalement cela fait partie de leur charme. Il m'a quand même manqué ce "je ne sais quoi" qui rend une lecture captivante...peut-être est-ce dû au manque d'introspection ou au point de vue de Parker qui m'a cruellement manqué.
Malgré tout, cette lecture reste sympathique, souvent drôle, et elle a le mérite d'éviter les rebondissements dramatiques (en gros quand on va mal, elle est toute indiquée !)  

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