The Matchmaker - Tome 1 : Celle qui te rendra heureux de Theresa Romain

Résumé

Blessé de guerre, Henry Middlebrook décide de se marier et choisit Lady Caroline, une jeune veuve. Il se fait aider par Frances, veuve de guerre et dame de compagnie de Lady Caroline. Mais Henry et Frances tombent amoureux alors qu'Henry continue de faire la cour à Caroline.

Ouf, j'ai fini de lire le début et d'entre-lire la fin,quel CATASTROPHE ce livre,je me suis endormie à plusieurs reprise mais fallait bien que je fasse mon travail qui est de le finir il m'a pris la tête comme pas possible,moi qui fait déjà des migraines,là j'étais servie. L'histoire d'un homme qui revient de la guerre avec un bras paralysé et un moral en dessous de zéro.Il fait tout pour retrouver sa place dans la société des "riches" et fait tout pour,quitte à courir après une femme qui l'ignore complétement,par contre la cousine de celle-ci ne demande que ça, qu'il l'a remarque. Pour moi cette histoire n'a ni queue ni tête,ça part dans tous les sens,je me demande où est l'intérêt de l'histoire,qu'apporte l'histoire,rien même les personnages n'ont pas réussi à relevé le niveau. Les personnages fades,mou, aucun humour,ils sont tous au ralenti,pas de personnalité.Henry est d'un ennui comme pas possible et Frances ben c'est Frances. Henry cours après Lady Caroline (la cousine riche)qui elle s'en fout et Frances court après Henry qui lui s'en fout. Bref je me suis ENNUYEE MAIS ENNUYEE ,sauf si on a pas d'aspirine on prend ce livre.

/5

Moi qui voulais l'acheter, je vais attendre d'autres avis

Désolé Paulette d'avoir lincher ce bouquin alors que tu voulais le lire (c'est que mon avis et les goûts et les couleurs) je suis très difficile sur les livres quand il me plaît pas,le pauvre il en prend pour son grade ,alors t'a raison vaux mieux que t'attende d'autres avis. J'imagine la tête que t'as dû faire en lisant mon avis, ma pauvre 

leynna a écrit:sauf si on a pas d'aspirine on prend ce livre.

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  tu m'as tué !

Blackdarken a écrit:

leynna a écrit:sauf si on a pas d'aspirine on prend ce livre.

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  tu m'as tué !

A cause de ce livre j'avais un mal de tête carabiné,j'ai pris un aspirine et manque de peau je ne savait pas que ça avait le même effet

Angleterre 1815.
Artiste peintre, Henry Middlebrook vingt-six ans, et le frère cadet d'un comte, se sentant libre de toute obligation, il s’achète une commission et partit pour le continent se battre contre les troupes de Napoléon, et ce, contre l'avis de son frère aîné.

 Trois ans plus tard, il revient en Angleterre, en héros de guerre du siège des Quatre-Bras, mais avec son bras droit tellement abîmé qu'il ne peut plus s'en servir.
Henry n'est plus ni un soldat, ni un peintre, son frère Jim et sa belle-sœur Émily le pousse et encourage son retour à la société, amer et fatigué, il pense alors qu'il a droit à une épouse dans la haute société pour reprendre sa vie d'avant la guerre parmi l'aristocratie, et pour y accéder, il est convaincu que la meilleure stratégie est d'épouser une dame qui tient la bonne société dans le creux de sa main, la lady la plus populaire et admirée du ton.

Emily décide qu'Henry doit se marier avec une femme qui le rendra heureux et justement, elle a la parfaite candidate pour lui, une de ses amies, Caroline Graves, Lady Stratton, une très belle comtesse veuve très convoitée par les prétendants.
Accompagné de son frère et l'épouse de ce dernier, Henry se rend à un bal chez lady Applewood, pour faire connaissance avec Caroline, seulement la séduisante comtesse et assiéger par ses admirateurs, quand Henry s'insère dans son cercle, il rencontre Frances qui est la dame de compagnie en plus d'être la cousine de Caro, Henry est instamment frappé par Caroline, celle-ci badine avec lui, comme avec tous ses autres soupirants, mais elle n'est pas intéressée.

Le lendemain de sa deuxième rencontre avec la comtesse, il juge que la meilleure façon de s'approcher et se faire remarquer de cette perle de la société qu'il convoite, est de trouver le plus d'informations sur elle, est celle qui la connaît la mieux et qui pourrait l'aider à atteindre son but n'est autre que Frances sa dame de compagnie !
Frances Whittier vingt-neuf ans, veuve de guerre est immédiatement fascinée par Henry, beaux, bien bâti, intelligent, il est le premier homme qui l'attire depuis la mort de son mari six ans plus tôt.

 Après une matinée désastreuse chez Caroline, Henry déçu et abattu en comprenant que Caroline ne voit pas en lui un futur époux, décide de quitter Londres le lendemain pour, son cottage à la campagne, le soir même, il reçoit une lettre aux armoiries de Lady Stratton, signée par "une amie" où celle-ci lui écrit toute l'admiration et l'affection qu'elle a pour lui quoiqu'elle soit plus âgée de quelques ans, etc. fou de joie d'apprendre que la comtesse s'intéresse à lui, il abandonne son projet de départ, bien résolu cette fois à se battre pour gagner sa main...

Si vous avez ce roman chez vous, garder le dans votre chevet et si un soir, vous avez une crise d'insomnie, vous avez sous votre main un excellent soporifique, mon Dieu, que je me suis ennuyé mais ennuyé, j'ai cru ne jamais en voir la fin !

 Une lecture sans saveur, sans passion, longue et fastidieuse.
 Une héroïne froide et mythomane sur le bord ! 
Un héros qui s’apitoie trop sur lui alors qu'il a fait son devoir en défendant son pays, un  choix  volontaire qu'il a fait lui-même  du reste sans oublier  que si lui a pu rejoindre son foyer et sa famille nombreux soldat n’ont pas ce destin !

Ça se lit, péniblement, mais je ne risque pas de l'oublier non que j'en sois captiver, mais un flop pareil n'est pas facile à effacer des mémoires !

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