Teaser Tuesday #142

Citation a écrit:
- Reid, déclara - t-elle , les yeux déjà brillants de larmes tandis qu'elle passait l'alliance au doigt de son époux , je te promet à essayer de me voir telle que tu me vois, bien que je sache que l'amour t'aveugle.
- J'ai dix sur dix à chaque œil quand il s'agit de te regarder ma douce .
- Reid, tu ne dois pas interrompre mes vœux !
- Désolé Lu. Continue, dit-il avec un clin d'œil montrant qu'il n'était pas du tout désolé.
 Les invités gloussèrent et Lucie eut énormément de mal à garder son sérieux.
- Je te promet de masser les cals de tes doigts quand tu auras consacré trop de temps à un dessein ou à une sculpture. Je te promet de ne jamais te laisser oublier à quel point tu es talentueux et de toujours soutenir tes rêves. Mais surtout je promet de te chérir, de t'honorer et de t'aimer de tout mon être, à dater de se jour et jusqu'à mon dernier souffle.
- Lucie, déclara Reid, en lui passant à son tour son alliance, je te promet de ne plus faire de plaisanteries stupides sur les parties de mon corps que je préfèrerais de voir masser quand tu me masses les mains ...
Lucie passa par une dizaines de nuances de rouges jusqu'au cramoisi et cette fois les invités éclatèrent carrément de rire. 
- et je te promet de ne plus jamais te laisser flirter avec un serveur tant que je serai en vie.
- C'est toi qui m'avais forcée ! 
- Interdiction de m'interrompre, répliqua-t-il en posant un doigt sur ses lèvres.

Beau et Blake sont jumeaux, et ont pour habitude de "fraterniser" à leur manière, autrement dit en se saoulant et en se tapant dessus. C'est ainsi que Stella les retrouve dans cet extrait qui m'a bien fait sourire 

         — Bon sang, qu’est-ce que vous fichez ! cria-t-elle de toute la force de ses poumons.
         Beau flanqua un autre coup de poing à Blake qui lui fit une prise autour du cou, et ils s’écroulèrent ensemble au sol.
         — Je n’ai rien en commun avec ce salaud !
        Ils luttèrent dans la poussière, et Beau se retrouva Dieu sait comment assis sur le torse de son frère, le tee-shirt de Blake chiffonné dans une main.
        — Arrêtez ! hurla-t-elle en s’immobilisant à quelques mètres d’eux.
        — Rentre à la maison, Stella, grinça Beau entre ses dents sans lâcher son frère des yeux.
        — Seulement si tu viens avec moi, rétorqua-t-elle en se rapprochant.
        — Écoute ta petite amie, Beau. Cours te cacher à la maison, espèce de femmelette.
        Les doigts de Stella commencèrent à la picoter, et elle secoua vigoureusement les mains.
        — Ne m’obligez pas à employer la force !
        Estomaqués, tous deux tournèrent simultanément la tête vers elle, tee-shirts déchirés, lèvres ensanglantées, visages identiques la dévisageant comme si c’était elle qui avait perdu la tête. Elle tendit le doigt vers Beau :
        — Toi, tu descends de ton frère.
        Ils continuèrent à la dévisager, et elle s’efforça de ne pas hyperventiler.
        — Ne m’obligez pas à appeler votre mère.
        — Hein ?
        — Est-ce qu’elle vient de dire qu’elle allait téléphoner à maman ?
        — Oui, je viens de le dire.

Parker Jones a écrit:Excellents, ces vœux de mariage !