Teaser Tuesday #114

- Qu'aimez-vous le plus dans le café? Le goût? La caféine?
- J'aime commencer la journée avec les nouvelles et un Blue Mountain de Jamaïque. J'aime boire une tasse l'après-midi en râlant contre les Mariners ou les Seahawks. J'aime l'idée que chaque tasse est un concentré de saveurs d'endroits que la plupart d'entre nous ne connaîtrons jamais. Les contreforts du Kilimandjaro en Tanzanie... les îles d'Indonésie... la Colombie, l'Éthiopie, le Brésil, le Cameroun... J'aime l'idée qu'un chauffeur routier puisse savourer un café de qualité tout autant qu'un millionnaire. Mais par-dessus tout, c'est le rituel qui me plaît. Il rapproche les amis, constitue la conclusion parfaite d'un dîner... et à l'occasion, permet de tenter de convaincre une jolie femme de monter jusqu'à votre appartement.

Sa personnalité pragmatique de paranaturelle évalua la situation et réalisa qu'elle pouvait définitivement apprendre à apprecier le goût de Lord Maccon. Sombre et riche, il lui rappelait certaines soupes françaises très coûteuses. 

- What is it your mother likes to say?
- (...) Love makes us strong.
- (...) With the love I feel for you, bella, I could lift up the world.

marissa a écrit:Aah Zaz ton extrait me laisse

“You do know that there’s this little thing called the Nineteenth Amendment giving women the right to vote?” I asked.
“I heard of that,” he said and there was a smile in his voice.
“And there’s this whole movement called fem… in… is… im,” I said it slowly, like he was a dim child. “Where women started working, demanding equal pay for equal work, raising their voices on issues of the day, taking back the night, stuff like that.”
He rolled into me, which made me roll onto my back. “Sounds familiar.”
“Do you have an encyclopedia? Maybe we can look it up. If the words are too big for you to read, I’ll read it out loud and explain as I go along,” I offered. He got up on his elbow. “Only if you do it naked.

Ici nous avons Killian, qui a été kidnappé par un gang et dont ses relations au premier abord houleuses et polaires avec leur chef Sin vont évoluer vers quelque chose d'interdit ... car il est le frère de leur ennemi, le chef d'un autre gang.

Je contemple le sol, attendant mon sort.
— Killian.
Sa voix me ramène à l’instant présent. Il a prononcé mon nom plusieurs fois, mais je l’entends à peine, et il finit par me redresser le menton. Je refuse de croiser son regard mais j’y suis obligé. Il détaille mon visage et quelque chose obscurcit le sien. Je n’arrive pas à comprendre ce que j’y lis. Alors, quand il dégage mes cheveux emmêlés collés à ma joue sale, je ferme les yeux. Je n’ai aucun moyen de me défendre, plus maintenant.
Sa main effleure la mienne, tente d’ouvrir mes doigts.
— Killian, lâche ça. S’il te plaît…
Je rouvre les yeux, je regarde ma main droite ensanglantée qui serre encore le tesson. Je sens à peine mes doigts, le verre planté dans mes articulations. Je suis incapable de la déplier.
— Essaie.
Mais je n’y arrive pas. Alors Sin ouvre mes doigts, un par un, et je l’entends jurer doucement quand il détache le verre rougi de ma peau. Mes doigts insensibles restent recourbés comme des serres. Il jette le tesson de côté et me prend dans ses bras.
Je ne m’y attendais pas et je me raidis. Mais il n’en tient pas compte, il me serre contre lui, me caresse les cheveux en prononçant des mots incompréhensibles. J’aurais peut-être pu résister à des coups, mais là je ne suis pas capable de me retenir. Je me mets à pleurer en silence.
Sin me maintient contre lui, malgré les sanglots qui font tressaillir mes épaules. Il me garde comme ça un long moment.
Je ne connais pas cet homme. Je croyais le connaître, mais je ne savais rien de cette partie-là de lui. J’aurais préféré ne jamais le découvrir, ni le laisser prendre cette place que je l’ai laissé obtenir. Il n’y a jamais eu d’avenir possible avec lui, et désormais il y en a encore moins que ça. À cet instant je ne crois même plus qu’il y ait d’avenir tout court, pour moi.

Le personnage principal Gwen me fait beaucoup rire et est vraiment attachante (je comprends mieux le terme potiche employé à plusieurs reprises par les filles à présent   ) et oh quels hommes alors   (et je débute à peine ma lecture...).

“Gwen, babe, think you should calm down,” Dog muttered and I could swear I could read on his face that he was wondering if he should knock me out for my own good.
“Calm?” I yelled. “Calm?” I yelled again. “She owes you guys over two million dollars. She cut the hair off my Barbies. She stole the lavalier my grandmother gave me on her deathbed and pawned it to buy pot. She got drunk and stuck her hand down my boyfriend’s pants at Thanksgiving dinner. He was straight-laced, went to church and, after Ginger’s antics – and the hand down the pants was only the culmination, he caught her snorting coke in the bathroom too – he thought my family was insane, possibly criminally insane, and he broke up with me a week later. He might have been straight-laced and, looking back, probably boring but at the time I liked him!” Now I was shrieking. “He was my boyfriend!”
“Peaches,” Tack called and my body swung to him to see he’d moved into my space.
I tipped my head back and snapped on a shout, “What?”
His hand came up, fingers curling around my neck, he dipped his face into mine and he whispered, “Baby, calm down.”I stared close up into his blue eyes and instantly calmed down.
“Okey dokey,” I whispered back.
His eyes smiled.
My body shivered.
With his hand at my neck, I knew he felt it and I knew it more when his fingers curled deeper into my flesh and something flashed in his eyes that made me shiver someplace he couldn’t see but I could feel. A lot.
Time to go.
“I could probably sell plasma and a kidney but I don’t even think that will work so, um, can I just leave my sister to deal with this?” I asked politely, wanting to move from the strength of his hand but scared to do it.

Gwen toujours, en présence de Mystery Man et du détective Lawson, suite à une infraction chez elle... (j'adore ce genre d'humour, la nana à l'Ouest  , et j'apprécie beaucoup le fait que l'on puisse être dans sa tête, on partage ses pensées je trouve que cela rend le texte plus vivant!).

“I knew like that someone was in my house but I knew it was for real.” He nodded again and I kept talking. “So, I called 911 but not before I thought I needed a baseball bat. But, while I was waiting for you, I decided I didn’t want a baseball bat, I want a crowbar. A baseball bat has more surface area so the force of the blow would be disbursed. A crowbar would work better. What do you think?”
MM’s fingers tightened on my neck but Lawson, clearly not following my ramblings, asked, “What do I think?”
“Baseball bat or crowbar? Which one would you want if you were in a scary situation?”
He paused a second, his eyes holding mine, before he answered softly, “Gwendolyn, I own a gun.”
Jeez. Of course. He owned a gun. He could shoot a bad guy. He didn’t need a baseball bat.
A gun would be handy but I wasn’t sure I was ready for a gun.
“Oh yeah,” I whispered, “right.”
He smiled a small smile and prompted, “So you called 911…”

Zazazoo a écrit:Une fois n'est pas coutume, je vais mettre un teaser en VF ^^

Les chevaliers des Highlands
Tome 7 : Le Chasseur
de Monica McCarty

Et voici un grand classique de la romance histo : la sortie du bain, avec un focus sur le corps musclé et sexy du héros, tout un programme ...
Comment ne pas partager ça avec vous ?  

Pa­tau­ger dans l’eau gla­cée était une autre paire de manches. Elle avait les mains bleues de­puis qu’elle avait fait sa toi­lette, un peu plus tôt. Aussi, elle ne s’at­ten­dait pas à voir Ewen émer­ger de la ri­vière à moi­tié nu, tel un an­cien dieu marin nor­dique.
Elle s’ar­rêta net, la gorge sèche. Elle au­rait dû faire demi-tour. Vrai­ment. Sauf qu’elle ne pou­vait pas. Enfin, en toute sin­cé­rité, elle ne le vou­lait pas.
Elle avait déjà vu des hommes torse nu, cer­tains jo­li­ment mus­clés. Mais ja­mais un homme aussi re­mar­quable.
Il était si beau et si fi­ne­ment ci­selé qu’il était dom­mage de re­cou­vrir une telle splen­deur avec une ar­mure en cuir. Elle au­rait tout donné pour pou­voir poser ses mains sur cette sculp­ture vi­vante.
D’autres dé­tails s’im­pri­mèrent dans son es­prit fas­ciné : la toi­son sombre sur son torse, qui s’af­fi­nait le long du ventre en for­mant une ligne qui se per­dait sous ses braies… des braies trem­pées por­tées bas sur ses hanches et adhé­rant à ses cuisses puis­santes.