Teaser Tuesday #88

Spoiler:

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Et pourtant...et pourtant il avait encore rêvé d elle.........
Epuisé il s'était ensuite couché avec  la ferme intention  de profiter d'un sommeil réparateur . Mais au milieu de la nuit, son corps avait commencé à faire des siennes. Des images terribles avaient pris naissance dans son esprit. C'était comme s'il regardait la scène depuis le plafond tout en ressentant physiquement chaque sensation : son corps nu se mouvant sur celui d'une femme ; le délicieux enchevêtrement de bras et de jambes ; le parfum musqué des corps en train de faire l'amour ....
Puis il s'était déplacé, juste un petit peu, pour embrasser l'oreille de la femme sans visage. D’abord était apparue une épaisse boucle brune,mais c’est lorsqu'il avait reculé davantage qu'il l’avait vue.
Kate Sheffield !
Il s’était réveillé en sursaut, s’était assis dans son lit, le cœur battant la chamade.  C’avait été le rêve  érotique le plus saisissant de toute son existence. Et son pire cauchemar .
D’une main tremblante, il avait tâté le drap autour de lui, horrifié à l’idée de trouver la preuve de sa passion nocturne pour la femme la plus détestable qu’il connût.

Zazazoo a écrit:

Then he gave a lit­tle thrust of his hips and loo­ked down at his pen*s.
“That is my gun. As you’ve dis­co­ve­red, it’s pum­pac­tion like a shot­gun, but it doesn’t fire bul­lets.”

Zazazoo a écrit:

I-Team
Tome 5 : Breaking Point
de Pamela Clare

Dans cet extrait, Zach décide de faire l'éducation de Nathalie en matière d'armes à feu, et il finit son petit exposé en parlant de son "arme" très spéciale ...     

Then he gave a lit­tle thrust of his hips and loo­ked down at his pen*s.
“That is my gun. As you’ve dis­co­ve­red, it’s pum­pac­tion like a shot­gun, but it doesn’t fire bul­lets.”

      

Je ne résiste pas au plaisir de mettre deux autres extraits qui m'ont tiré des soupirs d'attendrissement. Imaginez la scène : Julian, Marc et Gabe (les héros des tomes 2 à 4), dans une salle d'attente à l'hôpital, en tenue de combat (et par là j'entends uniforme du SWAT et tout le toutim), à un moment particulièrement tendu du roman. Zach débarque dans la salle et les découvre avec leurs enfants.

Zach stop­ped in his tracks, the sight thro­wing him off. He didn’t like ba­bies, didn’t care for chil­dren. Or at least he didn’t think he did. But these lit­tle ones were so dam­ned . . . cute. Lit­tle bits of sweet­ness, each one of them was tiny and hel­pless and ut­terly in­no­cent. Some part of him—some part he wan­ted to di­sown—gave a big, un­mis­ta­kable “awww!”

Et ça aussi ... Rien de d'imaginer Hunt avec sa petite fille ...      

Hun­ter’s lit­tle girl lost her grip on the edge of a chair, plop­ped down hea­vily onto her dia­pe­red bot­tom, and began to cry, her pre­cious lit­tle face the very image of dis­tress, her tiny world tem­po­ra­rily shat­te­red.
Hun­ter pi­cked her up, kis­sed her. “It could have been a lot worse.”
“You said it, Hun­ter.” Ros­si­ter gently set­tled his slee­ping baby in her car seat and co­ve­red her with a small blan­ket de­co­ra­ted with In­dian de­si­gns. “That was too dam­ned close.”

Ce mélange de blagues entre mecs et de papas poules décomplexés (alors que ce sont des badass de compét), moi ça me fait fondre ...