Neighbor from Hell tome 4 : Truce de R. L. Mathewson

Résumé (trad BdP) :

Voici comment tout a commencé...

Elizabeth sait très bien ce que l'on attend d'elle : la perfection. Elle est la fille d'un comte et doit donc faire un bon mariage, dire et faire ce qu'il faut en affichant un sourire alors qu’elle ne rêve que de fuir ce monde. Grâce à un héritage que lui a laissé sa marraine, une chance se présentera à son prochain anniversaire. Mais tout s'écroule lorsque Robert, la némésis de son enfance qu'elle n'a pas vu depuis 14 ans réapparait dans sa vie et fait tout ce qu'il peut pour la rendre folle tout en lui volant son cœur.

Il la haïssait.

Ou du moins, il a essayé de la haïr; mais cela est si difficile de détester quelqu'un dont il ne peut se passer. Il a tenté de l'ignorer, de se concentrer sur autre chose mais rien ne fonctionne. Elle est parvenue à s'installer dans ses pensées et à lui donner des envies qu'il n'aurait jamais crues possibles. Elle l'a fait sourire et rire alors même qu'elle le rendait furieux. Elle est à l'origine d'un mythe, en le transformant en...

Un Bradford.

Mon avis :

Oui, oui, il s'agit bien du 4e tome de la merveilleuse série contemporaine de R. L. Mathewson Neighbor from Hell ET d'un historique.

L'auteur a décidé de nous présenter le premier Bradford stéréotype : Robert.
Il est le premier, celui qui influencera des générations d'homme que nous aimons tous, sans exception. Il est le premier a avoir été doté d'un ventre à jamais insatisfait. Le premier à nous faire rire avec son caractère impossible, son sourire charmeur et ses bouderies.


Bref, nous sommes à Londres, au XIXe siècle. L'enfance se Robert se définit en un mot : Elizabeth. Ou la manière dont elle lui rend la vie impossible. Et il le lui rend bien.
Ils sont voisins, leurs familles sont amies, mais eux, se détestent.
Ils se pourrissent la vie de façon inventive jusqu'à la gaffe de trop.


Ils se retrouvent des années plus tard, toujours aussi vindicatifs... Ou pas. Robert est devenu un magnifique spécimen masculin et Elizabeth est plutôt pas mal non plus, forcément.
Ils se cherchent, se trouvent, se font des blagues... C'est un couple épique. Normal, c'est un Bradford !  Que serait un Bradford sans une esclave non complaisante ??

Ah, j'ai aimé ce roman. J'ai rigolé à certaines blagues. ça m'a fait un bien fou !
Et puis j'ai aimé retrouver Jason, son père et Trevor. Eh oui, ils font une petite apparition au début et à la fin du roman.

C'est toujours aussi enjoué. Très, très hot. Très peu historique, mais que du bonheur ! ça ressemble assez aux autres tomes de la série par les thèmes abordés hein, pas de nouveautés, mais ce n'est pas ce que je demande à une lecture qui doit me vider l'esprit.


        /5