Teaser Tuesday #55

Mon coup de cœur du mois      Les petits pic taryn/greta sont juste extra !!



— Trey, tu ne m’avais pas dit que tu avais une mamie aussi adorable.
 Il fut étonné de la voir sourire. Manifestement, elle se défendait très bien toute seule face à Greta.
 — Tu veux vraiment de cette roulure comme compagne ? l’interpella justement celle-ci.
— Greta, attention, l’avertit-il gravement.
— Je n’ai pas à être polie avec elle. Ce n’est qu’une petite dévergondée !
— Dis donc, mémé, tu ne voudrais pas changer de disque, pour voir ? intervint Taryn, affichant un air las.
— Je veux qu’elle s’en aille !
 Trey croisa les bras, faisant de son mieux pour ne pas sourire. Si Greta se mettait dans un tel état, ça voulait dire qu’elle était en train de perdre cette confrontation, qu’elle avait sans aucun doute initiée pour une seule raison : elle ne supportait pas que son petit-fils fréquente des femmes.
 — Ça n’arrivera pas, répondit-il.
 — Je refuse de l’accepter dans ma meute ! s’entêta sa grand-mère.
 — Pourquoi ?
 — Si tu avais entendu le ton sur lequel elle m’a parlé ! Je dirais qu’elle n’a aucun respect, mais ce serait un doux euphémisme ! C’est une traînée, elle va te tromper à tour de bras ! Elle va s’envoyer tes lieutenants, les uns après les autres, comme la dernière des filles à matelots !
 — Greta, tu lis en moi comme dans un livre ouvert. C’en est troublant, intervint Taryn.
  Avec un grognement qui étonna tout le monde, la vieille dame se leva.
— Mettez-moi ça dehors, j’ai dit ! répéta-t-elle avant de se concentrer sur la jeune femme. Dehors !
Taryn fronça les sourcils, feignant la sollicitude.
— Greta, vraiment. Pourquoi tant de haine ?
— Ce sera Madame Tyler, pour toi, sale traînée.
— Comme tu veux, Greta

Omg je comptais la mettre cette citation en plus xD ! C'est ma lecture du moment haha ! J'avoue que les piques entre Greta et Taryn me font trop rire xD

En effet, La meute de Phenyx est blindé de phrases mémorables !
Je vous copie celles que j'avais mis dans mon avis sur ce livre :

Un petit exemple de réplique à la Taryn quand elle affronte un adversaire de Trey, l’oncle Darryl :
Lui, Darryl : «  Ces loups sont à moi. Et je me ferai un plaisir d’investir tes grottes, Trey. Je récupererai  peut-être même ta compagne , pourquoi pas ?
Taryn : Je suis peut-être superficielle, mais tant qu’à faire j’évite de me taper des moches. Et vous… disons que vous auriez mieux fait de sécher sur la cuisse de votre mère. »



Taryn et Gréta (la grd-mère de Trey): 

-          « Dis la trainée, tu as participé à la préparation du repas ? demanda
Gréta. Je trouve que beaucoup de choses ont un drôle d’arrière-goût, ajouta la vieille.
-          C’est à cause de toute la merde qui sort de ta bouche , répliqua Taryn »
Trey et Taryn qui parlent de Gréta :
«  - Je sais qu’elle est pénible en ce moment, mais c’est le genre de femme qu’on apprend à apprécier tu vois ?
-          Non le contredit Taryn, c’est le genre de femme qui est comme une pinata.
-          Comment ça ?
-          Complètement inutile, mais qu’est- ce que c’est drôle quand on la fracasse. »

Je vais vraiment craquer et finir par le lire, celui-là ! Vos extraits sont tout simplement savoureux

Petit extrait de Fièvre Noire :

Petit passage presque intime où Jericho se retrouve, contre son gré, à devoir vernir les ongles de Mac :

    — Rappelez-moi pourquoi je fais cela, mademoiselle Lane.
    — Parce que mon bras est cassé, répondis-je d’un ton patient.
   — Vous n’avez pas assez essayé, marmonna-t-il. Je suis sûr qu’en plaçant votre attelle comme ceci…
   Joignant le geste à la parole, il leva le bras… et répandit une traînée de gouttes violettes sur les carreaux anciens.
    — … et en tournant le bras comme cela…
    Nouvelles projections de vernis sur le sol.
    — … vous devriez y arriver, conclut-il, triomphant.
    Je lui décochai un regard glacial.
    — Est-ce que je me plains, quand vous me promenez dans les pires endroits de la ville à la recherche de vos saletés d’Objets de Pouvoir ? Non, alors mettez-la en veilleuse, Barrons. Le moins que vous puissiez faire, c’est de m’aider à vernir mes ongles maintenant que mon bras est cassé. Réjouissez-vous, je ne vous demande pas de faire l’autre main, ni les orteils.

Si tu commences avec les citations des Fièvre Parker, tu n'as pas fini! Les prochains tomes te réservent quelques pépites aussi!

Mdr Parker !!! J'adore...
va falloir que je commence les fievres moi... ça va faire 2 ans qu'elles m'attendent sur ma Pal !

un petit extrait du tome 1 de la série house of Comarré. cela ce passe au début du livre quand Malkolm refuse de dire son nom a Chrysabelle.


Chrysabelle essaye de trouver son nom

 'Ready to tell me your name yet? i'm very willing to call you Fluffy if i have to. Maybe Rufus. Or how about  Bunny?' She tapped her chin. ' Captain Bunny of the ship of fools. that has a nice to -

Je partage avec vous un petit passage de Jill Shalvis 




Elle lui arracha la laine des mains.
—Quant à ce qui s’est passé sur la jetée et devant l’auberge, eh bien, en général, je ne cède pas si facilement aux avances. D’ailleurs, il faut que je te dise... (Elle prit une profonde inspiration.) J’ai fait une croix sur les hommes.

Jax haussa légèrement les sourcils.
(...)
—C’est vrai, reprit Maddie. Au début, je voulais juste faire une croix sur les avocats, mais ça m’a paru puéril. Et bien trop sélectif. Je préfère donc mettre toutes les chances de mon côté en laissant tomber la totalité des humains porteurs de pénis.

Parce que ça, c’est tellement plus adulte.

Tara pointa le nez par l’embrasure de la porte en adressant à Jax un clin d’œil contrit.
—Il est possible qu’elle soit encore un peu pompette, expliqua-t-elle.
—Mais pas du tout ! s’offusqua Maddie avec des accents de sincérité dans la voix. Alors, si tu as fait tout ce chemin pour qu’on se rejoue la scène d’hier soir, je suis désolée, mais ça ne va pas être possible. Tu ne m’intéresses pas.

Puis, elle retint son souffle, au cas où son karma l’aurait entendue et s’apprêterait à punir son mensonge en la foudroyant sur place.
Mais rien ne se passa. Silence total. Cette fois, plutôt que de raconter n’importe quoi qui risquerait d’aggraver son cas, elle préféra se mordre la langue.

—D’accord, dit enfin Jax avec un hochement de tête. C’est très... intéressant, tout ça. Mais je ne suis pas venu rejouer une scène.

Un mauvais pressentiment assaillit soudain Maddie.

—Ah non ?
—Non. C’est toi qui m’as appelé.

La jeune femme le considéra un instant, plus attentivement que la première fois, s’attardant en particulier sur sa tenue : le pull noir était en réalité un sweat à capuche arborant au niveau des pectoraux l’inscription « J.C. Builders » ; le jean, sans être trop ajusté, mettait en valeur son corps musculeux ; l’état d’usure de ses chaussures de chantier suggérait qu’il ne les portait pas pour la frime. Mais, ce qui aurait dû mettre immédiatement la puce à l’oreille de Maddie, c’était le mètre à ruban dépassant de sa poche et le bloc-notes qui reposait contre sa cuisse.

Derrière lui, sa Jeep était garée dans la cour ; un gros chien brun était assis à la place du mort.

—Alors, c’est toi, l’entrepreneur en bâtiment ? dit-elle d’une voix quasi inaudible.
—Oui, répondit-il, presque hilare à présent. Je suis là si tu as toujours besoin d’un... maître.

Maddie eut envie de disparaître sous terre.

—Après tout, ajouta Jax, je ne suis qu’un vulgaire porteur de pénis.

"-Une vérité donc ? demanda Thad à Natalya. Alors, avec combien de mecs est-ce que vous avez... enfin, tu vois, quoi.

-Avec combien de mecs j'ai couché ? J'ai plusieurs siècles au compteur, je te rappelle, donc si on part sur une rotation tous les six mois en moyenne... fais le calcul. Je ne dirais pas toute une armée, mais plusieurs bataillons, certainement. Ca te dirait de t'engager ?

Thad se mit à bredouiller, mal à l'aise.

-Et toi ? reprit-elle. Combien de filles as-tu butinées, Tigrou ?

Regin entendit rougir le gamin.

-J'ai eu des tonnes de copines, dit-il. Je suis quaterback au foot, quand même. Je cours après tout ce qui bouge.

-Tu n'as pas répondu à ma question.

Tête baissée, il avoua à mi-voix :

-Entre les entrainements et les scouts, j'ai pas vraiment eu le temps de trouver... comment dire... la fille idéale quoi.

Natalya soupira.

-T'es carrément irrésistible, quand tu dis ça. Maintenant que tu l'as trouvée, la fille idéale, tu peux défaire ton pantalon. Action.

-Pardon, madame ? dit-il en s'étranglant.

Thaddeus Brayden, vénéré comme un dieu du foot dans sa petite ville taxane de Harley, n'avait de toute évidence jamais rencontré de femme de la trempe de Natalya.

-Bien sûr qu'on devrait dormir ensemble, avait roucoulé la fey le matin même. Je ne suis rien de plus qu'une bonne fée marraine. Si on partage le même lit, je pourrai réaliser tous tes rêves."

 

Oh Amand@! Trop bon cet extrait! J'ai posté exactement le même dans un teaser précédent.
On ne peut pas passer à côté de ça!
Humains porteurs de pénis
Je garde cette citation pour un conflit futur avec Monsieur.

Excellent ton teaser Elea !!  

Un petit extrait drôle des Hathaway tome 3 de Lisa Kleypas

- Qu'est- ce qui vous fait croire que le patron n'a pas encore, euh... brouté le cresson ? demanda le chef cuisinier à Mme Pennywishle.

- Brouté le cresson ? répéta Jacke médusé.

C'est une métaphore, expliqua M. Broussard d'un air supérieur. Et moins vulgaire que celles que vous utilisez, vous autres Anglais. (...)

- Vous croyez qu'il a un problème avec sa carotte ?

- Cressons, carotte... Vous ne pensez donc qu'en terme de nourriture ? s'écria Jacke

Le chef haussa les épaules

- Oui

- Quoi qu'il en soit, je connais un paquet de maitresse de Rutledge qui pourraient vous certifier qu'il n'a aucun problème avec sa carotte, lâcha Jacke d'un ton irrité.

- Alors c'es incompréhensible. Elle est belle. Il est viril. Pourquoi ne font-il pas de salade ensemble ?

Cette scène m'a bien fait marrer !

Mouahahah il est d'enfer ton teaser Laenic !!

Enorme cet extrait Laenic !

Elea, Laenic j'adore vos extraits

Vous me donnez trop envie de le lire la Meute du Phénix les filles ! 

«Lucky Harbor - 4 : Passionnément», Jill Shalvis

Mallory est en panne de voiture, celle-ci ne démarre pas, alors elle se sert de son portable pour trouver quelqu'un qui la dépanne !

Peut-être Tammy, pensa la jeune femme en composant le numéro de sa sœur.

- est-ce que Zach peut venir l'aider à allumer la voiture ?
- Chérie, répondit Tammy. Pour le moment, il est légèrement occupé à m'allumer, moi.

Au comptoir du Harbor Diner, avec ses copines de... chocolat ^^, qui lui offrent des "chaussures de p..... super s..."

...Mallory se laissa fléchir et ouvrit la boîte...une magnifique paire de sandales noires à lanières, dotées de talons vertigineux : délicates, sexy, et affriolantes au possible.
...
Grace souriait de toutes ses dents.
- Tu vois ? s'enthousiasma-t-elle. Fais-en bon usage. Elles ont le pouvoir.
- Le pouvoir ?
- Le pouvoir de la pouffe, expliqua Amy. Fonce et dévergonde-toi, ma belle.


Mallory discute avec Tyler du fait d'être accro (aux médicaments).

- Je pense qu'il est normal d'être accro. On est tous accro à quelque chose. J'ai arrêté le chocolat une fois. Le manque est terrible.

Il étouffa un rire. Il appréciait tellement cette fille ! Énormément. Qu'étai-il censé faire de ce constat ?

- Je ne pense pas que ce soit tout à fait la même chose.
- Exact. Je veux dire, je ne peux pas être arrêtée pour avoir fait un stock de gâteaux au chocolat, dit-elle. Mais ça me gâche la vie. Ça coûte de l'argent. Et ma blouse me boudine. Est-ce que tu sais à quel point il est pénible de porter un pantalon trop étriqué ? C'est vraiment désagréable, Ty.