Teaser Tuesday #40

C'est mardi et le rendez-vous hebdomadaire du Teaser Tuesday ! Donnez-nous envie, les filles !



Teaser Tuesday est un concept américain, lancé à l’origine par Should be Reading, et suivi chaque semaine par des milliers de blogueurs à travers le monde.

Nous avons donc ainsi décidé de nous prêter au jeu et de les rejoindre !

Le principe est simple : chaque mardi, attrapez votre lecture en cours (ou celle que vous venez juste de terminer si vous n’en êtes qu’au tout début) et partagez avec nous une ou deux citations de cet ouvrage.

Le but est de nous faire vivre vos plus beaux moments de lecture & de « teaser » vos copinautes (en bref, leur donner envie de lire, rien qu’avec ces deux citations).

Comment participer ?

Chaque semaine, un nouveau sujet sera ouvert et vous permettra de poster les noms de l’œuvre et de l’auteur, la couverture (si possible) en format moyen, puis vos citations.

Une seule petite règle à respecter (et ce pour des raisons évidentes), nous vous demandons de ne pas mettre de spoilers ! Évitez ainsi les : « Je suis ton père, Luc » ou encore « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ».

Attention, le sujet sera verrouillé à minuit.

Bon mardi, et à vos plumes !

PS : Je rappelle qu'une citation n'est pas un extrait d'une demi-page !

Alors que Mag est dans une position délicate, Davy se lance à son secours, avec l'aide de son ami Seth, le héros du tome 1, qui lui propose ses gadgets haut de gamme.

"-Et il y a une malette à l'arrière. Mon kit d'urgence. Il contient un ordinateur portable et certains de mes gadgets d'espionnage, si jamais tu en avais besoin. Non pas que tu mérites de profiter de mon génie, vu que tu as retiré mon mouchard de ton téléphone portable. Ton manque d'humour m'a beaucoup vexé.
Davy tapota un code sur le panneau numérique de l'entrée.
-Mettre un mouchard sur mon téléphone constituait une violation innacceptable de ma vie privée et de ma liberté, répéta Davy pour la millième fois.
-Epargne-moi ton sermon, espèce d'hypocrite. Bizarrement, tu trouves cette invention géniale lorsqu'il s'agit de violer l'intimité de ta petite amie.
-Elle a un assassin à ses trousse, fit remarquer Davy.
Seth leva les yeux aux ciel.
-Oui, bien sûr. On a tous utilisé cette excuse."

Mister Perfect de Linda Howard

L’amour sens entraves – La famille Blakewell #1, de Pamela Clare

Cet extrait se situe au début de livre. Cassie a acheté Braden, forçat fiévreux fraîchement débarqué de l’Angleterre, comme esclave. Après plusieurs jours de convalescence, le voilà remis sur pied et tous les deux sont prêts pour une première confrontation. Et le mâle est nu sous ses draps ...

—J'aimerais aussi me raser, et avoir des vêtements. À moins, bien sûr, que la coutume, dans ce pays, veuille qu'une jeune dame puisse se repaître tout son soûl de la nudité masculine.
Cassie sentit ses joues s'enflammer. De colère autant que de confusion.
— Vous aurez des vêtements, monsieur Braden. La Virginie est un pays civilisé. Et personne ne vous a demandé de vous exhiber nu. Du reste, si vous ne m'en aviez pas parlé, je ne m'en serais pas aperçue.
— Ah bon ? fit-il avec un sourire arrogant destiné à lui montrer qu’il n'était pas dupe de son gros mensonge.
— J'ai toujours vécu sur cette plantation, monsieur Braden. Et je me suis occupée aussi bien des animaux souffrants que des esclaves malades. Les hommes diffèrent assez peu des chevaux, des verrats ou des coqs.
— Des coqs ? Pour dire une chose pareille, j'en déduis que vous n'avez pas regardé d'assez près.
— Je faisais allusion à leur même façon de se pavaner, monsieur Braden. »

Un magnifique passage du Divin Enfer de Gabriel de Sylvain Reynard

- Je me souviendrai de ton parfum, de ton contact et de la sensation que ça me procurait de t'aimer. Mais par-dessus tout, je me rappellerai ce que ça fait d'avoir une véritable beauté sous les yeux. Car tu es belle, ma bien aimée, aussi bien d'âme que de corps. Généreuse d'esprit et de cœur. Et jamais plus je ne reverrai de mon vivant plus beau que toi.
Il l'étreignit, l'embrassant sans relâche, tentant de lui faire comprendre avec ses lèvres à quel point il l'aimait. Il toucha les diamants à ses oreilles et approcha sa bouche.
- Après t'avoir vu nue, je te demanderai de ne plus porter en ma présence que ces boucles d'oreilles. Tout le reste est superflu.