Teaser Tuesday #38

My eyes closed, my head sagged back then forward, my forehead hitting his shoulder. Beautiful. This was what I’d been waiting for. Not for months. For years. To be right here, right like this. With Shy. (…)

He shoved his thumb in the palm, curled his fingers around the back and pressed our hands to the wall. My head fell back, hit wall. (...) I saw instantly his eyes mirrored how I felt. Loved. Right. Therefore I knew it was safe to share what was in my heart.

- I missed you,I whispered.(…)

We’d never had this, not this, but what I said was true. I missed him. At my words, he closed his eyes, dropped his head to rest his forehead against mine. (…)

- Missed you too, honey.

Oh God. He missed me. I loved that.

Oh ! c'est beau Comme tu dis on ressent bien la force qui les unit !!



Pour l'instant je n'ai pas trouvé de passage spécialement intéressant à vous proposer dans mon livre actuel ! Peut-être avant la fin de la journée...

et hop, je me disais justement " on est mardi, où est le teaser tuesday?" ; Par contre, vu que mon livre actuel m'emballe moyen moyne, je risque d'avoir du mal à trouver un passage sympa à proposer. je vais chercher quand même, promis!

Zaza, j'adore ton extrait, il est très beau ! Je me note ce livre tout en haut de ma liste si ce n'est pas déjà fait !

Merci du conseil !

Megan ne s'est jamais pardonné le malentendu qui a dressé sa propre soeur contre elle, des années plus tôt. Hantée par la culpabilité, elle a préféré ne plus revoir Jenn plutôt que de l'affronter lors d'une explication. Mais aujourd'hui, à bout de souffle, épuisée, sans ressources, où Megan pourrait-elle encore aller, sinon dans le Tennessee, chez elle - chez Jenn, plus exactement ? Hélas, celle-ci demeure intraitable : pour elle, Megan a toujours été une égoïste, une opportuniste ; pas question qu'elle l'accueille, même pour quelques jours. Et tandis que la tension monte entre les deux soeurs, Megan fait un malaise. Médecin, Ethan Tulane décide de l'héberger en dépit des mises en garde de Jenn...

Ce livre est le quatrième de la Saga des Tulane. J'apprécie vraiment cette saga, elle est à lire...
L'extrait suivant se passe juste après le premier baiser passionné entre Ethan et Megan.

- A ta place la plupart des hommes auraient continué sur leur lancée, tu sais, murmura Megan, d'un air songeur
- Oh ne te méprends pas. J'aurais adoré ça, moi aussi... te déshabiller, te voir nue, te prendre, ajouta-t-il, se représentant la scène malgré lui. Seulement tant que tu ne pourras pas dormir sous mon toit sans être réveiller de cauchemars, tant que tu ne pourras pas m'embrasser par désir plutôt que par gratitude, je continuerai à penser que nous ne nous connaissons pas suffisamment pour nous aventurer sur ces terres étrangères
Elle pencha la tête sur le côté, en un mélange de tristesse et de joie.

J'ai adoré ce livre !!!

Alors ce petit, je l'ai attendu désespérément et je suis obligée de mettre un de mes passages préférés: un petit combat de coq opposant le magnifique Artus de Janlys à l'éblouissant prince Vassili Golitsyne

Vaguement essoufflé, le sabre à l’écart du flan de sa monture, Vassili fixait le cadavre de son adversaire.
― Quelle charge, votre altesse ! s’esbaudit Artus en allant à sa rencontre. Cherchiez-vous à prouver quelque chose ?
Faisant exécuter un demi-tour au cheval, Vassili survola le comte d’un regard indifférent, avant de se tourner vers sa maîtresse. Enchantée de son triomphe, celle-ci lui adressa un sourire radieux.
Comme une certaine satisfaction soulevait la commissure des lèvres du prince, il ôta ses bottes des étriers, enjamba le dos de l’étalon, et se laissa glisser au sol. S’inclinant sur le cadavre du Lamie, il essuya sa lame sur les frusques poussiéreuses qui le vêtaient, puis la remit au fourreau.
― Vous êtes parvenu à chevaucher Harald, fit encore le comte en s’arrêtant à sa hauteur. Cela, je l’admets, fait figure de prouesse. Auriez-vous quelque chose de commun avec les bêtes pour vous en faire si bien comprendre ?
― Je suis un hussard mon seigneur, rappela le slave en allant se poster auprès de sa maîtresse. Quoi que je décide de monter, je rencontre toujours le succès...
L’impertinence de cette réplique laissa Rose pantoise.

Ils sont très beaux vos extraits les filles

Oh lalalala ! Isatis ... ton extrait ... il me faut le tome 2 ! malheureusement mon dernier roman n'était pas très drôle, contrairement à ce que j'imaginais. j'ai quand même aimé un passage mais c'est trop long pour le proposer là XD Le coup de l'avion

Alors voilà depuis le temps que je voulais vous mettre un teaser de la relation entre Tiago et Tricks (ou Niniane)


Je vous met l'extrait de la VO ... je vais essayer de venir le traduire dans la soirée ...


“So you think you can ‘deal’ with me,” he said. The insolent, silken tone of his voice stroked down her spine even as it raised the danger level in the room. “You can try.”

She raised her head and met his gaze. She watched her own hand move out, grasp the stem of her iced water and toss the contents into his face.

Water cascaded down his face and neck. His chair came down on all four legs. His eyes filled with lightning. She pushed to her feet and backed away from the table as he came to his feet in a leisurely movement.

A sharp rap sounded at the door. His head snapped around, and he glared as the rap sounded again. She took that moment to escape toward the bedroom. His soft growl followed her. “Goddammit, Tricks. Go ahead, try to run. See what good that does you.”

She scowled. Try to run? Hell, no. She stormed out of the bedroom and into the kitchen. She flipped the kitchen faucet on and started pulling all the mugs and glasses out of the cabinets. She filled each one with water and lined them up on the kitchen counter.
(...)
Cameron Rogers stood with her hand raised to knock again. He barked, “What.”

The lieutenant’s hand lowered as she stared at him. Her cinnamon-sprinkled features became suffused with sudden strain. “Ah,” she said with a cough. “Looking a little damp there, sentinel.”

“Fuck you,” he snapped.
(...)
“I’ve got my hands full at the moment,” he muttered. He slammed the door shut and glared at it as he heard Rogers laugh.
Niniane listened as Tiago spoke with whoever had knocked on the door. Soon enough his arrogant, oversized silhouette filled the kitchen doorway.
(...)
She turned off the faucet, picked up the nearest full glass and threw the water on him.

He stood absolutely still, a giant statute of carved muscle and bone. Something dangerous throbbed in the air between them. Her heart pounded. “You did not just do that,” he said in a conversational tone. “Nobody is that suicidal.”