Teaser Tuesday #33

Audacieuse Evie, Les chroniques d'Evie Parish tome 2, de Beth Ciotta

Nicole a ouvert de grands yeux. Comme la fumée se dissipait, j’ai vu ce qu’elle voyait, sauf que ce n’était pas vraiment nouveau pour moi. Beckett ruisselant d’eau et nu, à l’exception d’une serviette de toilette autour des reins. Arch ruisselant d’eau et nu… mais sans serviette autour des reins.Ça m’a rappelé toutes les fois où Nic, Jayne et moi avions fantasmé sur la revue Playgirl. (...)
— Où se trouve cette maudite sirène ? a vociféré Beckett.
— Là-haut, a répondu Arch.Ils étaient en mode « sauveteur-chargé-d’adrénaline ».

Sans doute la raison pour laquelle aucun des deux n’avait encore fait de commentaire sur la nudité d’Arch ou la présence de la superbe brune qui contemplait la scène d’un œil éberlué. Difficile de reprocher à Nic de regarder. Arch avait un corps magnifique, sans parler de… hum… cette partie de son anatomie masculine, plutôt impressionnante. Mais l’attention de mon amie s’était à présent reportée sur Beckett, en équilibre sur un tabouret. Sa serviette de toilette avait glissé de ses hanches, tandis qu’il déconnectait l’alarme.

Un ange passa, jusqu’à ce que je pousse un petit cri en me couvrant les yeux.
— On voit tes fesses et tout le reste, vieux, a commenté Arch avec un sourire dans la voix.
— Tu peux parler ! a répliqué Beckett.
— Bon sang ! Où est ma serviette ?
Un fou rire nerveux m’a secouée. Les larmes aux yeux — et ce n’était pas à cause de la fumée —, j’ai vu Nicole me prendre la manique des mains et la tendre à Arch.

Il a regardé le minuscule carré de tissu, a regardé Nicole, puis de nouveau la manique.
— C’est trop petit pour lui, ai-je hoqueté en me tenant les côtes.
Nicole m’a jeté un coup d’œil et a articulé silencieusement :
— Tu en as de la chance.

Entre-temps, Beckett avait sécurisé sa serviette et décroché un tablier de cuisine qu’il a tendu charitablement à Arch.
— Tiens. Arch s’est empressé de le nouer autour de sa taille, tandis que je m’écroulais sur une chaise en tentant désespérément de ne pas hurler de rire.
— Je ne crois pas que nous ayons été présentés, a dit Arch dignement.

Isatis a écrit:

Ahhhh Milo et Arch, Arch et Milo...ils sont trop choupinous!

Zazazoo a écrit:

Audacieuse Evie, Les chroniques d'Evie Parish tome 2, de Beth Ciotta

[ Dans cet extrait, Evie est dans une maison de location avec Arch, son collègue et amant, Milo, son boss sexy et Nic, sa meilleure amie. L'alarme incendie se décenche alors que les deux nanas sont en train de préparer le petit déj'. Il y a de la fumée partout, les mecs débarquent en fanfare dans la cuisine pour voir ce qui se passe.]

Nicole a ouvert de grands yeux. Comme la fumée se dissipait, j’ai vu ce qu’elle voyait, sauf que ce n’était pas vraiment nouveau pour moi. Beckett ruisselant d’eau et nu, à l’exception d’une serviette de toilette autour des reins. Arch ruisselant d’eau et nu… mais sans serviette autour des reins.Ça m’a rappelé toutes les fois où Nic, Jayne et moi avions fantasmé sur la revue Playgirl. (...)
— Où se trouve cette maudite sirène ? a vociféré Beckett.
— Là-haut, a répondu Arch.Ils étaient en mode « sauveteur-chargé-d’adrénaline ».

Sans doute la raison pour laquelle aucun des deux n’avait encore fait de commentaire sur la nudité d’Arch ou la présence de la superbe brune qui contemplait la scène d’un œil éberlué. Difficile de reprocher à Nic de regarder. Arch avait un corps magnifique, sans parler de… hum… cette partie de son anatomie masculine, plutôt impressionnante. Mais l’attention de mon amie s’était à présent reportée sur Beckett, en équilibre sur un tabouret. Sa serviette de toilette avait glissé de ses hanches, tandis qu’il déconnectait l’alarme.

Un ange passa, jusqu’à ce que je pousse un petit cri en me couvrant les yeux.
— On voit tes fesses et tout le reste, vieux, a commenté Arch avec un sourire dans la voix.
— Tu peux parler ! a répliqué Beckett.
— Bon sang ! Où est ma serviette ?
Un fou rire nerveux m’a secouée. Les larmes aux yeux — et ce n’était pas à cause de la fumée —, j’ai vu Nicole me prendre la manique des mains et la tendre à Arch.

Il a regardé le minuscule carré de tissu, a regardé Nicole, puis de nouveau la manique.
— C’est trop petit pour lui, ai-je hoqueté en me tenant les côtes.
Nicole m’a jeté un coup d’œil et a articulé silencieusement :
— Tu en as de la chance.

Entre-temps, Beckett avait sécurisé sa serviette et décroché un tablier de cuisine qu’il a tendu charitablement à Arch.
— Tiens. Arch s’est empressé de le nouer autour de sa taille, tandis que je m’écroulais sur une chaise en tentant désespérément de ne pas hurler de rire.
— Je ne crois pas que nous ayons été présentés, a dit Arch dignement.

Zazazoo a écrit:

Audacieuse Evie, Les chroniques d'Evie Parish tome 2, de Beth Ciotta

[ Dans cet extrait, Evie est dans une maison de location avec Arch, son collègue et amant, Milo, son boss sexy et Nic, sa meilleure amie. L'alarme incendie se décenche alors que les deux nanas sont en train de préparer le petit déj'. Il y a de la fumée partout, les mecs débarquent en fanfare dans la cuisine pour voir ce qui se passe.]

Nicole a ouvert de grands yeux. Comme la fumée se dissipait, j’ai vu ce qu’elle voyait, sauf que ce n’était pas vraiment nouveau pour moi. Beckett ruisselant d’eau et nu, à l’exception d’une serviette de toilette autour des reins. Arch ruisselant d’eau et nu… mais sans serviette autour des reins.Ça m’a rappelé toutes les fois où Nic, Jayne et moi avions fantasmé sur la revue Playgirl. (...)
— Où se trouve cette maudite sirène ? a vociféré Beckett.
— Là-haut, a répondu Arch.Ils étaient en mode « sauveteur-chargé-d’adrénaline ».

Sans doute la raison pour laquelle aucun des deux n’avait encore fait de commentaire sur la nudité d’Arch ou la présence de la superbe brune qui contemplait la scène d’un œil éberlué. Difficile de reprocher à Nic de regarder. Arch avait un corps magnifique, sans parler de… hum… cette partie de son anatomie masculine, plutôt impressionnante. Mais l’attention de mon amie s’était à présent reportée sur Beckett, en équilibre sur un tabouret. Sa serviette de toilette avait glissé de ses hanches, tandis qu’il déconnectait l’alarme.

Un ange passa, jusqu’à ce que je pousse un petit cri en me couvrant les yeux.
— On voit tes fesses et tout le reste, vieux, a commenté Arch avec un sourire dans la voix.
— Tu peux parler ! a répliqué Beckett.
— Bon sang ! Où est ma serviette ?
Un fou rire nerveux m’a secouée. Les larmes aux yeux — et ce n’était pas à cause de la fumée —, j’ai vu Nicole me prendre la manique des mains et la tendre à Arch.

Il a regardé le minuscule carré de tissu, a regardé Nicole, puis de nouveau la manique.
— C’est trop petit pour lui, ai-je hoqueté en me tenant les côtes.
Nicole m’a jeté un coup d’œil et a articulé silencieusement :
— Tu en as de la chance.

Entre-temps, Beckett avait sécurisé sa serviette et décroché un tablier de cuisine qu’il a tendu charitablement à Arch.
— Tiens. Arch s’est empressé de le nouer autour de sa taille, tandis que je m’écroulais sur une chaise en tentant désespérément de ne pas hurler de rire.
— Je ne crois pas que nous ayons été présentés, a dit Arch dignement.

belle étoile a écrit:

Bobby Tom Denton, ex-gloire des chicago stars, s'est reconverti dans le cinéma. il y met une telle mauvaise volonté qu'on lui a envoyé Gracie Snow pour l'accompagner. Et il lui en fait baver, au point qu'elle finit par craquer : obligée d'aller lui acheter des préservatifs, Gracie tombe sur la mère de Bobby Tom, puis celui-ci la fait passer pour sa fiancée devant un parterre de prétendantes dont il veut se débarrasser.

Il s'était attendu de sa part à une explosion de colère, mais c'était une détermination sans faille qui faisait briller son regard. A l'instant où il lui revenait en mémoire qu'elle ne réagissait jamais comme on pouvait s'y attendre, elle saisit l'ouverture en V de sa braguette et tira sur son jean. Puis, sans lui laisser le temps de résister, elle vida d'un coup la glace fondue dans son pantalon.
Bobby Tom hurla et bondit en l'air, les mains aggrippée à son entrejambe. En le regardant danser, Gracie jeta d'un air satisfait le cartonnage vide sur le sol et croisa les bras.
— Ça, c'est pour m'avoir obligée à acheter des préservatifs sous les yeux de votre mère! expliqua-t-elle, vengeresse.