Sequels - Tome 1 : L'amant de l'ombre de Judith McNaught

J'ai passé un très bon moment avec ce roman ! Une fois commencé, j'avais du mal à le lâcher. Que d'émotions !

J'ai beaucoup apprécié nos deux héros, même si j'ai parfois trouvé Jason vraiment odieux. Mon Dieu, comme il pouvait être borné et aveugle des fois ! Mais son histoire m'a énormément touché et malgré son fichu caractère, il m'a fait vibrer ! Victoria était au top : attendrissante, courageuse. La seule petite chose qui m'a un peu titillé avec elle, c'était sa trop grande innocence. A cause de cela, les choses ont tournés en rond un bon moment et inutile de préciser que les quiproquos et les non-dits n'ont rien arrangés. Sinon, tous les autres personnages étaient attachants aussi, y compris les domestiques ! Par contre, l'histoire avec Andrew a vite abouti.

Pour conclure : un très bon livre !

,25 /5

Alors pour moi, c'est une lecture mitigée.
J'ai aimé l'histoire, car je n'ai quasiment pas lâché le livre avant la fin, mais je n'ai pas été transportée par cette romance. Je pense que j'aurais aimé plus de passion dans la relation des deux héros, vu leurs caractères respectifs, je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus explosif. Et les quelques scènes de rapprochement m'ont laissé sur ma faim, trop expéditives à mon goût :-(.
Les personnages sont attachants. Victoria apporte de la jeunesse, de la fraîcheur et de la gaité dans la vie très austère de ces anglais :-), cela contre balance le cynisme outrageant de Jason ( bon, cela se comprend quand la lumière totale se fait sur son passé ).

Spoiler:

J'ai apprécié de pouvoir connaître le point de vue de tous les domestiques.
Le duc est adorable,

Spoiler:

J'ai eu beaucoup de peine pour ce pauvre Andrew,

Spoiler:

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/5

Au moment où je commençais à me demander si, moins absorbée par mes lectures, j'aimais encore vraiment les romances, voilà que je tombe sur ce petit roman à la couverture plutôt banale et sur laquelle la poussière avait créé son empire tant il régnait en maître depuis longtemps dans ma PAL.

Et après quelques jours d'yeux qui papillonnent de page en page, d'apnées tendues entrecoupées de soupirs de soulagement, j'ai refermé mon roman, déjà nostalgique de cette lecture.

Je crois que dans la collection des A&P, je n'avais pas pris autant de plaisir à lire depuis l'Amour Fou, d'Anna Campbell.

Je ne suis pourtant pas fan du héros. Il est violent et rien de ce qui a pu lui arriver ne peut justifier son comportement envers une personne aussi jeune et attachante que Victoria. Mais voilà, les héros qui me dérangent et bouleversent mes lectures n'arrivent pas à me détourner d'une belle histoire. Sans doute, d'ailleurs, ne sont-ils pas étrangers à ces maux qui rendent une lecture addictive.

Elle, je l'ai trouvée formidable et, malgré sa naïveté, pleine de courage et d'optimisme. Sans doute était-ce même un peu trop voire utopique, mais sans ces chimères, je ne vois pas comment elle aurait pu rester saine d'esprit dans le monde austère qui l'entoure.

Les personnages secondaires sont délicieusement extravagants, drôles tout en restant discrets. Ils ont souvent été la cause de mes sourires, véritables récréations au cœur de l'ambiance lourde de cette romance.

Jusqu'aux dix dernières pages, je me suis demandée comment la situation pourrait finir par tourner à son avantage. C'est beau et douloureux et tout est raconté avec une pudeur qui intensifie la force des sentiments.

Je regrette que nous n'en sachions pas plus

Spoiler:

 
Ma note (enchantée) :
    .75 / 5 

J'ai eu envie de me plonger dans une autre série de cet auteur que je viens de découvrir. Après avoir fini les Westmoreland, je me suis presque jetée sur celle-ci.

Orpheline, Victoria quitte sa sœur et part pour l'Amérique rejoindre un cousin. Ce dernier va vouloir alors la marier à son fils, Jason. Mais Jason est tout sauf d'accord et va tout faire pour trouver un mari et éloigner la jeune femme.

J'ai vraiment bien aimé cette romance, j'aime décidément vraiment les écrits et le style de Judith McNaught. Et plus particulièrement, j'apprécie ses personnages masculins, même s'ils sont assez bruts de décoffrage ^^ Victoria est assez touchante, c'est une jeune femme si gentille mais tellement naïve.

J'ai vraiment aimé Jason, on sent qu'il y a tellement de choses derrière sa froideur et son côté un peu sombre. L'évolution de leur relation est assez lente et franchement c'est appréciable...

Comme les précédents romans, on ne s'y ennuie pas un instant mais je trouve, encore une fois ici, la fin trop précipitée. J'ai hâte de poursuivre avec les tomes suivants !

  / 5

Cela fait longtemps que j'ai envie de lire un roman de Judith McNaught, et cette fois, j'ai enfin sauté le pas !
Alors j'avoue qu'au début, en voyant que le bouquin datait de 1987, j'ai eu un peu peur, dans la mesure où à cette époque, en RH il était fréquent de trouver des héroïnes hyper jeunes, et où, souvent, les héros masculins avaient des pratiques ... plutôt brutales.

Alors oui, dans ce livre, Victoria n'a que 18 ans, mais même si elle est parfois naïve (en toute bonne foi), elle a une telle force de caractère que son âge n'était pour moi au final qu'un chiffre qui ne voulait pas dire grand chose. C'est une jeune fille courageuse et solaire, qui a du cran. Et du cran, il en faut pour affronter au quotidien un homme tel que Jason, en plus de subir le déracinement de passer d'un pays à un autre, de porter le deuil de ses parents, et supporter en outre la séparation avec sa soeur.

Jason a le profil du héros de romance historique qui a fait les grandes heures de ce genre, et qui me plaît toujours. Un homme froid et cynique, quelqu'un qui met les autres à distance, mais qui bouillonne intérieurement. Un homme qui peut se montrer doux et attentionné l'espace d'un instant, et balancer des horreurs la minute suivante. Évidemment LA scène que je redoutais trouver était là et m'a fait grincer des dents. Aujourd'hui, on ne pourrait plus écrire un truc pareil, je pense (enfin remarquez, dans la dark romance, on doit trouver ce genre de chose, et pas que là, finalement ...), et c'est vrai que si on regarde ce livre avec nos yeux post #MeToo, eh bien on se retrouve à s'agripper à notre fauteuil à de nombreuses reprises !

Malgré cela, c'est une lecture que j'ai appréciée, parce que l'auteur prend le temps de développer ses personnages, et rien ne se résous simplement (sauf la fin qui est bâclée en 2 pages, et là, je n'ai pas compris ...). C'est une histoire intense et plutôt du genre dramatique. Victoria et Jason croisent souvent le fer, les mots et les portes claquent, et ils n'y vont pas de main morte ! Malheureusement ces scènes de disputes se répètent trop souvent à mon goût, et cela vient alourdir le récit, c'est dommage.

Heureusement, on peut compter sur les personnages secondaires pour alléger l'atmosphère ! Que ce soit les manigances de l'oncle Charles ou les commérages des domestiques (ça, j'ai vraiment adoré !), ces passages-là arrivent à point nommé pour faire redescendre la pression. J'ai également bien apprécié le personnage de Mike, qui fait un peu office de figure paternelle, tout comme Robert sa femme Caroline, qui là encore viennent apporter un peu de légèreté à une ambiance qui est parfois à couper au couteau !

Une très bonne lecture dans l'ensemble donc, une romance bien écrite qui m'aura tenue en haleine jusqu'à la fin, et des héros aux personnalités bien affirmées !

/5