Gideon's Cove - Tome 2 : Tout sauf le grand amour de Kristan Higgins

Résumé :

Ce que cherche Lucy Lang à l’aube de ses trente ans ? Un homme sympa et honnête. Un homme qui s’occuperait du jardin, des barbecues, et qui jouerait au foot avec les enfants. Et surtout, surtout, un homme qui ne déclencherait en elle aucun émoi amoureux, aucune grande passion. Car Lucy refuse l’idée de souffrir de nouveau, comme elle a souffert cinq ans plus tôt en perdant son mari. Alors, même si le passé se rappelle encore à elle, aujourd’hui, elle le sent : elle a atteint les limites d’une vie exclusivement consacrée à son chat, Fat Mikey, le plus intelligent et le plus capricieux des félins, et à son travail qu’elle adore, dans la petite pâtisserie familiale de Rhode Island. Oui, il est temps, après cinq ans, de tourner la page, et de se lancer dans une nouvelle vie. Première étape : prévenir Ethan Mirabelli, son amant sexy mais inépousable, qu’il est temps de revenir à une relation strictement amicale. Deuxième étape : se lancer dans la quête de son futur mari, celui qui sera tout pour elle. Tout, sauf le grand amour.

Ahhh!!!!! J'adore cette auteure !!!! Et je ne l'ai pas lu en VO !!!!! Trop bien !!!!! (Patacaisse en mode hystérique)

Déjà que le livre a fait un détour par un point relai au lieu d'arriver directement dans ma boîte aux lettres, alors après t'avoir lu, je suis désabusée
Allez, je n'ai plus qu'à aller lire un Azur pour me défouler

J ai bien aimer ce livre

oh ! lala, j'ai adoré ce livre !! J'avais apprécié "l'amour et tout ce qui va avec", mais pas tant que celui-ci.

Dans celui-ci, j'ai trouvé de la douceur, de l'humour (ah ! les tantes hongroises !), de la tristesse,la peur de la mort, de la vie, l'angoisse de perdre ceux qu'on aime, la volonté de s'en sortir... et un amour, un amour merveilleux !

Lucy qui décide, à la naissance de sa nièce (sa soeur est aussi un personnage...), qu'il est temps pour elle de "sortir" de son veuvage et de continuer (ou "refaire" ) sa vie. Mais elle est entourée du clan des "Veuves Noires" (ses tantes et sa mère), qui, elles, vivent trés bien leur situation et ne l'aident donc pas vraiment dans ce nouveau "projet". . Autour d'elle, depuis des années, il y a Ethan, frère de son défunt mari bien-aimé. Ethan, qui est dans l'ombre depuis si longtemps, Ethan, le meilleur ami, si tendre, si attentionné, Ethan qui souffre en silence. Si gentil qu'on le considère presque comme un meuble, qui a toujours eu la seconde place, même dans le coeur des parents ... Bref, moi, je suis amoureuse d'Ethan ! lol

Beaucoup d'amour, de tendresse dans ce roman. On comprend Lucy qui lutte contre la malédiction familiale, qui doit aussi lutter pour imposer ses idées (dans l'entreprise de famille), qui a si peur de souffrir de nouveau et qui recherche donc un mari "fade" qui ne la rendra pas vulnérable, qui ne veut plus prendre de risques, qui découvre des choses sur son mari bien-aimé et mis sur un piédestal, par elle et par tous...(même si par moment on a envie d'aller lui ouvrir les yeux :o )

J'aurais beaucoup de choses à dire, mais au final, un roman qui restera longtemps dans mon esprit, qui m'a fait réfléchir, qui m'a touché !

Pour moi, bien sûr, /5

Kristan Higgins, Jill Shalvis, Robyn Carr, Lisa Kleypas, mes préférées en romance contemporaine

    / 5

Alala vous me tentez trop avec vos avis ! :Miam:

La plupart des avis qui évoquent cette auteur me font regretter de ne l’avoir jamais lue. On sent à quel point elle vous touche !
Rhummy a emporté le morceau : je viens d'en commander 2, en papier, j'aime bien cette collection, histoire de me délecter en votre compagnie. J'ai vraiment hâte de la découvrir.
Merci

N'ayant aucun point de comparaison, puisque je lis Kristan Higgins pour la première fois, j'ai lu, que dis-je, dévoré ce livre, regrettant à chaque interruption de ne pas pouvoir y rester immergée jusqu'à la fin.
Tour à tour tendre, drôle, triste, émouvant, troublant, ce roman est une jolie petite pépite, un rien nostalgique et profond. Luce, issue d'une famille de veuves hongroises dont les réparties et les interactions valent largement le détour, elle-même veuve encore amoureuse de son défunt mari après 5 ans, devra réapprendre à se faire confiance, à se donner la parole, sans angoisse ni culpabilité : se réconcilier avec son soi si farouchement nié par peur panique de ne pas survivre à la souffrance de l'inexorable.
Elle a mis sous le boisseau tout ce qui peut la rendre un tant soit peu à la vie, comme si elle avait tondu ses cheveux et s'était couverte la tête de cendres : tourner le dos à sa vocation de chef-pâtissière, alors que son âme d'artiste la conduit tout au long du roman à magnifier ses élans dans de magiques créations sucrées ; travestir son goût des douceurs sensuelles, puisqu'elle ne peut plus avaler que des cochonneries industrielles bourrées de sucre et de fausses matières grasses ; ignorer sa garde-robe, qui contient des centaines de dollars de tenues toutes plus élégantes les unes que les autre, en se contentant de la contempler et de soupirer, affublée d'un éternel pantalon de jogging, ou de son jean élimé, dans le meilleur des cas ; et vivre une histoire de sexe sans engagement avec cet Ethan, son beau-frère, le plus-que-parfait-ami, qui ne reste dans son esprit que cela, l'indispensable pourtant, mais celui qui ne fera sûrement pas souffrir son cœur déjà rassasié de douleur.
Lucy a tout pour être heureuse, tout à portée de main, mais elle passe sa vie, meurtrie et désolée, à côté du bonheur.
Heureusement, le déclic se fait dans son esprit : à trente ans, elle décide d'essayer de tourner la page, mais hors de question de mettre son cœur dans la balance.
Son futur compagnon devra correspondre à une batterie d'items anti-douleur, en tête de liste desquels figure le "Faible risque de décès prématuré", mais aussi "pas trop séduisant", "élans paternels", "job stable", "gentil avec sa famille",... On mesure combien cette jeune femme est profondément marquée par la disparition de son incomparable Jimmy, un être plus-que-parfait, dont elle apprendra toutefois à accepter les failles au fil du roman. Et son cheminement, zébré d'allers et retours, de larmes, de coups au cœur, de tendresse, et de nostalgie, sera long et éprouvant, mais combien gratifiant !
Ethan Mirabelli, ah, Ethan, oui, on ne peut que tomber sous le charme de son sourire solaire, espiègle et tendre à la fois. Il cumule, aux yeux de Luce, de trop nombreux handicaps : charmant et beau, drôle, super sexy, mais sans en avoir l'air, accompli dans tous les sens du terme, il est celui qui a toujours été là, à ses côtés, dans l'ombre, toujours de ce grand frère encensé de tous : la seconde roue du carosse.
Comme Elea, je suis complètement tombée amoureuse de lui, de sa vulnérabilité, de sa patience, de son entêtement aussi et de son incomparable fidélité. J'aurais voulu secouer Lucy comme un prunier, ce qu'il ne manque pas de faire d'ailleurs, et lui dire, à la manière d'Elea : "allez, on y va, maintenant, le temps des larmes est fini, ouvre donc un peu les yeux, nom d'un chien !!". On ne peut s'empêcher de suffrir pour lui... A ce titre, les dernières pages sont une bénédiction et Kristan Higgins a bien réussi à créer un fort sentiment d'attente et de frustration !
Le style, à lui seul, est une petite merveille : incisif, naturel, sans temps mort, ironique et mordant, il rend très vivants les multiples personnages de cette galerie, avec tendresse et élégance. Certaines scènes sont vraiment à croquer : la première scène d'amour entre Ethan et Luce m'a beaucoup fait rire, de même que les talents hautement barrés du cousin Stevie avec son record de franchissement de vaches, ou la description de l'enfilage d'une gaine récalcitrante. J'ai ri, j'ai pleuré, j'ai frémi, et j'ai palpité de bonheur. Ne vous attendez pas à de grandes scènes sensuelles, par contre, il n'y en a pas, tout est suggéré, ce qui ne m'a pas du tout dérangée. Que demander de plus? Rien. Je suis une lectrice comblée !
Un grand merci pour vos avis, les filles, qui m'ont permis de découvrir cette auteur dont les autres romans m'attendent bien au chaud dans ma PAL ! Pour mon plus grand plaisir...

Eh encore un livre sur ma liste !! Merci les filles !!!

Relation amour haine avec ce petit... Il traînait depuis plusieurs mois sur mon étagère, et je me suis laissée tenter, d'autant plus que l'héroïne a un chat (Ahah gare à toi défi lecture 2015)

Mais... peut-être est-ce parce que c'est mon premier KH en anglais, peut-être que je n'avais pas la tête à ce genre de lecture (surtout après plusieurs Kristen Ashley, qui a un style bien a elle) mais ça n'a pas connecté. Je l'ai trouvé looooong, mais loooooooooooong. J'ai ressenti de la compassion envers l'héroïne, mais au bout d'un certain temps je l'ai trouvé un peu nouille aussi. Les veuves noires m'ont énervé, les parents Mirabelli aussi. Oui Ethan est super, mais il m'a semblé plutôt mou. À force de se faire piler dessus, il aurait dû réagir bien avant...

Mais bon, j'ai quand même apprécié le moment, bien aimé Parker (je saute d'ailleurs dans son histoire sous peu) et aimé le climat dans lequel se déroule l'histoire.

2,5/5

Un très bon livre, même mieux que celui que j'ai lu d'elle avant. On suit donc Lucy, qui doit tourner la page suite à la mort de son mari et qui est dans une drôle de situation. Situation très surprenante quand on l'apprend mais qui au final est tellement compréhensible. Elle a mis le temps mais elle a clairement fait le bon choix. Autour d'elle, bien sur Ethan, un homme en or, et la famille de Lucy est aussi très sympa. Le duo Parker/Nicky est aussi très attachant. J'ai bien aimé tous les flashbacks qui apportent beaucoup à l'histoire. Un livre très bien écrit, avec une juste dose d'humour et de moments plus tristes.
/5

Après "Trop beau pour être vrai", j'avais envie de continuer dans ma lancée des K. Higgins et lire encore une petite romance tout mignonne.
Alors euh...ce n'était pas le cas avec ce livre. Il était dans ma kindle depuis un moment et je ne savais pas que c'était un tome 2, je l'ai découvert un peu en milieu de lecture mais apparemment ces tomes sont indépendants.

Je n'ai pas détesté ce livre mais je ne l'ai pas spécialement apprécié. Je n'avais déjà pas le moral à la base mais il m'a complétement déprimé... Il m'a plombé le moral, je n'arrivais pas à avancer, j'ai failli l'abandonner plus d'une fois mais je voulais voir le fin mot de l'histoire même si elle se devine dès les premières pages. Je voulais savoir l'évolution de Lucy, ce qui allait lui donner le déclic, etc.

Le décès d'un proche est une vraie tragédie. Le souci ici est que le défunt mari de Lucy est omniprésent à tous moments. Elle veut se reconstruire mais se l'interdit en quelque sorte. Sa famille ne fait rien pour l'aider, même si comme dans chacun des livres de K. Higgins les familles apportent une certaine dose d'humour. Ici, les tantes m'ont fait légèrement sourire par moment mais elles font tout pour laisser planer le fantôme de Jimmy autour de Lucy et à la longue sont très lourdes.

Ethan...le pauvre Ethan, tellement gentil, attentionné et patient... reste le deuxième choix de tout le monde et passe après son frère auprès de tout le monde. Il m'a fait tellement de peine, Lucy me faisait tellement de peine... tout me déprimait.

La fin, attendue et sans surprise, arrive presque comme un cheveu sur la soupe. Un revirement de comportement de Lucy, comme si une lumière venait de la frapper. Je ne sais pas, ça n'allait pas du tout...

/5 car j'aime la plume de l'auteur, pour le personnage d'Ethan et dont j'avais pitié, pour les dernières pages qui m'ont donné tout de même le sourire même si pour moi c'était bâclé plus ou moins et car je savais pertinemment que le pauvre Ethan était le second choix par défaut jusqu'au bout...

Un livre tout doux, même si je m'attendais à une histoire totalement guimauve il y a quand des sujets importants abordés comme le deuil, comment le surmonter. Mais ce côté un peu plus sérieux n'a rien enlevé au côté humoristique du livre.

J'ai beaucoup aimé les personnages : Lucy est très attachante mais un peu énervante parfois et Ethan pfiou ce mec est juste trop parfait pour que ça soit réaliste mais je suis tombée sous son charme quand même 

Et les personnages secondaire que dire entre les trois veuves qui sont à mourir de rire et sa soeur Corinne qui est carrément dingue tellement drôle même si à la base ça part d'une peur réelle beaucoup moins drôle.

Parfois quelques passages un peu long avec beaucoup de description de pensées et pas assez de dialogue à mon goût. Mais un livre auquel vous pensez en vous endormant et en vous réveillant en vous disant "vite j'ai hâte d'être dans le métro pour continuer ma lecture" pour moi c'est une bonne lecture  .

 /5