Lecture commune nouveau format : Possesseur de Joanna Wylde

Hiiiiiii je le commence demain. Pas une minute a moi aujourd'hui !!! Vos premiers avis m'ont un peu fait peur mais si au final ca reste addictif c"est qu'il doit y avoir un petit quelque chose qui fait que.... 
Je suis pressée de commencer du coup !!!

Merci Serendipity pour ton avis, n'hésite pas à le mettre également sur la fiche du roman ! 

Oui Bidoulolo il y a quand même du bon dans ce livre ne t'inquiète pas !   Perso j'en suis à la moitié, je reviendrai un peu plus tard dans la journée avec mes impressions.

Je suis dans les temps, je commence cette lecture plutôt mitigé ! Mais la curiosité l'emporte

J'avoue que je suis partagée... et que j'attends pour soit l'acheter à ma Librairie habituelle version papier, soit pour le prendre en numérique I.C.I... mais dans les 2 cas, j'ai jusqu'au 1er juillet  pour prendre ma décision.

Luxnbooks a écrit:Je suis dans les temps, je commence cette lecture plutôt mitigé ! Mais la curiosité l'emporte

Je viens de commencer aussi !!
Et ça commence assez mal, j'aime pas du tout l'écriture ... ou plutôt la traduction a mon avis !! Enfin du coup pour le moment je suis pas emballée ... affaire à suivre

Merci de nous rejoindre sur cette lecture commune les filles ! 

Etant à plus de la moitié du roman, je vais donner mes impressions concernant certaines petites choses : 

Tout d'abord l'histoire de la dette du frère : J'ai bien aimé voir la scène du chantage à la fois du point de vue de Marie et de Horse. La répétition ne m'a pas dérangé, au contraire, j'ai trouvé ça intéressant. Par contre, qu'est-ce que c'est que ces 50 000 dollars ?

Spoiler:

Je n'arrive vraiment pas à me faire à la place que donnent les bikers aux femmes. Je trouve ça hyper dégradant.

Spoiler:

Bref, je pense que l'univers des bikers n'est vraiment pas fait pour moi !   C'est un roman intéressant, ça se lit vite et on est curieux malgré tout de la suite, donc bien sûr je vais continuer ma lecture, mais je sais déjà que je ne continuerai pas la série. Je pense toutefois que c'est un livre qui vaut la peine d'être lu, ne serait-ce que pour tester si l'univers des bikers nous plait ou nous rebute.

J'en suis qu'au chapitre 7   j'ai pas avancé dans ma lecture depuis la dernière fois.. ca montre à quel point le livre m'emballe

bookandcie a écrit:J'en suis qu'au chapitre 7    j'ai pas avancé dans ma lecture depuis la dernière fois.. ca montre à quel point le livre m'emballe

Ah oui, on voit , j'hésite à me lancer dès que j'aurais terminé mon livre en cours....

Elea tu viens de citer en spoiler les deux scènes qui m'ont le plus dérangée, et le héros m'a bien énervée aussi au chapitre 16

Spoiler:

Elea a écrit: Par contre, qu'est-ce que c'est que ces 50 000 dollars ?

Spoiler:

Moi je n'ai pas compris ça comme ça, c'est ce qu'il dit,  mais... je n'en dirai pas plus pour le moment 

Pour le moment je suis perplexe !!!!
Je ne comprends pas comment c'est possible de

Spoiler:

franchement ça me dépasse .... mais bon !!

Kester a écrit:Elea tu viens de citer en spoiler les deux scènes qui m'ont le plus dérangée, et le héros m'a bien énervée aussi au chapitre 16

Spoiler:

J'ai lu cette scène-là ce matin, effectivement quel mufle cet Horse ! Jusqu'où serait-il allé ?

Mais par contre il m'a agréablement surpris avec sa proposition

Spoiler:

Bizarrement, j'ai trouvé ça très délicat de sa part ! 

C'est clair que ce livre est spécial, mais au moins il ne nous laisse pas indifférentes ! 

J'ai mis le nez dedans hier et, les premiers chocs passés (écriture, langage, monde différent) le livre se laisse lire.
Comme le souligne Elea, cette histoire est bizarre. Certes, le monde des bikers est spécial et nous le connaissons peu. C'est, dixit Horse, un monde parallèle, terriblement machiste où la femme n'est rien. Enfin presque...
Horse est un héro complexe, à la fois biker machiste et dominant et son contrepoint tendre et attentionné. Il est déstabilisant à changer de facette continuellement.
Quant à Marie, elle est surprenante de naïveté vu le passé qu'elle a. Ses réactions sont parfois limites niaises.
Si j'ai eu des doutes sur ma capacité à le continuer, dans les premiers chapitre, je me suis laissée entrainée dans l'histoire, même si elle parait, parfois, invraisemblable.
Bon, j'y retourne...

J'ai été surprise de trouver, dans ce livre étrange au langage très cru, un moment d'émotion intense :

Spoiler:

Par contre, le dénouement et la révélation de la taupe, c'est un peu bâclé.

Quant à :

c'est limite.

J'en suis à plus de la moitié et je ne sais toujours pas si j'aime ou pas ce roman.
J'ai vraiment du mal avec le coté "femme objet" des bikers, mais bon c'est vrai que c'est beaucoup plus soft que la série Hell's Horsemen !

Bon affaire à suivre donc .... je compte bien finir ce livre car certains passages sont appréciables.

Moi je suis tellement prise dans l'histoire que j'ai eu bien du mal à lâcher le livre pour me coucher et que le réveil a été difficile ce matin

J'aime beaucoup les bikers même si leur monde n'est pas toujours terrible pour l'image de la femme

Et je dois avouer que Horse me fait craquer même si autant il peut être doux et attentionné autant il peut se comporter comme

hier soir je me suis arrêtée:

Faut que je le lise quand même vos commentaires m'interpellent !! 

Il n'est pas trop tard pour nous rejoindre Laenic ! 

Je l'ai fini hier soir, et mon sentiment général se confirme : je ne suis pas faite pour les histoires de bikers ! Par contre je ne regrette pas de l'avoir lu, ne serait-ce que pour avoir testé le genre. 

Mes premières impressions sur ce monde des bikers... J'en suis au chapitre 7 :
1/ Ni les héros, ni les autres personnages, ni leurs relations, ni la "mythologie" biker, ni les décors, ne me font rêver.
Horse est un héros qui me ferait plutôt fuir à toutes jambes, musculeux, grossier, au look plutôt négligé avec son odeur d'huile de bécane et de sexe. Je préfère les anglais bien amidonnés, c'est clair 
Marie est un brin sosotte, mais bien roulée et très au fait de la surchauffe de sa libido en présence de son bel étalon, ce qui lui donne du poids, certainement. Et dans le genre Amérique profonde des bas-fonds des sous-couches, on ne fait guère mieux : c'est une caricature ambulante. Chaude à souhait, ça ouaip. Bon, disons que ça donne lieu à des scènes débridées. Ambiance chaude garantie pour les amatrices d'émotions fortes. 
2/ Bizarrement, j'ai fini, assez vite, par m'habituer à l'écriture, remplie de grossièreté, à l'image du milieu. Rien de léger, si bien que les rares scènes tendres font un peu incongrues.
3/ Je pense le lire jusqu'au bout, car les choses n'ont pas encore vraiment commencé, au stade où j'en suis, entre les deux héros. Mais j'ai beaucoup de mal avec cette vision arriérée des rapports homme/femme et de cette sacralisation d'un monde ultra-sexiste où la taille de sa bécane fait office de référence ultime (Mais qui aura la plus grosse?  ). A des hommes aussi virils, il faut des femmes au pieu et au fourneau, et il faut qu'elles en redemandent, en plus. Je me demande si cette représentation va évoluer. En tout cas, Marie est très carpette, et Horse, un vrai bourrin. 
4/ C'est très dépaysant, c'est sûr !

Je l'ai fini hier ! Ça n'a pas été de tout repos, l'écriture (ou la traduction ?) est vraiment dérangeante. J'aime bien le monde des bikers mais vraiment, la place de la femme me dérange et me met mal à l'aise. 

Spoiler:

Pour la taupe, j'avais ma petite idée

Spoiler:

Je le trouvais louche celui-là ! 

Par contre, un truc m'a dérangé. On voit tout au long du récit qu'elle aime son frère

Spoiler:

Quant à la fin,

Spoiler:

Je vous rejoins enfin. Je l'ai commencé hier soir, j'ai lu pour le moment environ 140 pages et j'aime beaucoup. C'est moins trash que la série Hell's Horsemen. Et ce côté "femme tu es MA propriété" est toujours aussi agaçant mais c'est le monde des bikers !

everalice a écrit:

J'en suis à un peu plus de la moitié, et franchement, je peine à le lire.

Pour tout dire, je n'ai même plus envie de lire à l'idée de retrouver cet univers et ces personnages qui m'horripilent. Je fuis mon livre, c'est affreux !

Les codes de conduite sont vraiment trop éloignés d'une relation amoureuse telle que je me la représente, ce qui fait que je ne m'y retrouve absolument pas.

Les femmes, mises en scène comme des objets sexualisées appartenant aux hommes, voilà une vision à laquelle je ne me fais pas du tout. Horse, le héros, me hérisse, et j'aurais envie de flanquer un bon coup de pied au derrière de l'héroïne pour lui remettre les neurones en place. Bref, je peine dur, et j'espère le finir très très vite. 

Il est clair que je ne lirai pas la suite, car aucun autre personnage ne m'attire.

J'en suis à peu près au tiers du livre et je comprends ton ressenti, j'ai eu beaucoup de mal aussi avec ce côté possession de la femme et le côté objet sexuel quand j'ai lu mon premier bouquin de bikers.... mais quand on a lu Hell's Horsemen, Horse fait vraiment figure d'enfant de chœur à côté de Deuce 

Ce que je peux dire pour le moment (je n'en suis pas très loin, donc ça peut changer très vite...) c'est que Horse me fait l'effet de vouloir suivre des règles pré-établies par les bikers, il tape du poing, il grogne, il commande, mais finalement ce n'est que du vent et il est plutôt attentionné avec Marie sous des dehors froids...

J'en suis au moment où 

Spoiler:

et j'ai vraiment envie de savoir ce qui va se passer. Je n'ai pas osé ouvrir les spoilers précédents de peur qu'ils ne parlent de ce que je n'ai pas encore lu....

Je l'ai terminé il y a un petit moment mais toujours pas eu le temps d'écrire un avis :/

Je n'ai pas beaucoup aimé cette lecture en fait. Pourtant j'aime bien les romances tordues et l'univers des bikers me met souvent en transe mais pas là.

J'ai bien aimé l'héroine mais alors le héros... Je n'ai pas du tout accroché.
Trop de sexe aussi. Trop de moiteur désespérée.

Je crois que mon plus gros problème, c'est que Undeniable de Madeleine Sheehan et dans le même registre était vraiment vraiment bien écrit. Du coup, je pouvais tout accepter, même la noirceur, la puanteur. Tout devenait beau.

Mais là, c'était plus bateau. Je n'ai pas trouvé de saveur à la romance qui commençait pourtant bien.

Dommage.