Hybrides - Tome 11 : Vérité de Laurann Dohner

Ils ont été crées. Emprisonnés. Mais jamais brisés.

Jeanie aime un Hybride, et sait ce que cela signifie. Elle fera tout pour protéger 710, quel qu'en soient les conséquences, mais jamais il ne doit savoir à quel point elle a souffert pour lui.
Des années plus tard, devenu Vérité, 710 a consacré sa propre vie à la libération des Hybrides. Lorsque son chemin recroise de celui de Jeanie, grièvement blessée, il pense d'abord que ce n'est que justice que celle qui l'a trahie en paye à présent le prix. Pourtant, elle exerce encore la même fascination qu'autrefois sur lui. Un simple geste de réconfort devient bientôt une volonté farouche de la protéger et la posséder...

Dans cette série qui maintenant semble s'allonger à l'infini, les tomes sont très inégaux je trouve. Celui-ci m'a bien plu ! C'est un bon cru selon moi. 
Il relate l'histoire de Vérité qui comme tous les autres est un rescapé de laboratoire. Il a été libéré plus tard car il était emprisonné dans une filiale de Mercile. 

Pendant la captivité de 710, une technicienne apaise un peu ses souffrances, un lien se crée entre eux mais au moment de sa libération, 710 pense qu'elle l'a trahi et que plus jamais il ne la verra. 
Un an plus tard, lors de l'attaque d'un autre laboratoire, 710, devenu Vérité, retrouve cette technicienne de laboratoire dans un état critique, elle a pris une balle dans le ventre et le détachement spécial allié des hybrides la malmène... 

La romance entre les deux personnages est intéressante et bien mené je trouve. L'action rebondit au fur et à mesure et on ne s'ennuie pas ! Une bonne lecture ! 

J'ai hâte de lire le suivant consacré à Pénombre. 

 /5

Le scénario de ce tome ressemble au premier tome, en mieux. 
Alors niveau romance, on reste sur l'alpha protecteur et sexy. 
Sauf que cette fois ci, j'ai trouvé qu'il y avait un rythme un peu plus soutenu dans l'action. Et c'était sympa comme tout.
Je regrette qu'on est pas plus de moment où Jeannie parle pas de sa propre expérience de cobaye. 
Mais bon, on ne lis pas ce livre pour sa profondeur. Mais parce qu'on apprécie la redondance scénaristique. 

 /5